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 Histoire sans fin ...

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MessageSujet: Re: Histoire sans fin ...   Histoire sans fin ... - Page 13 EmptyLun 21 Juin - 3:02

C'était l'histoire de John, un jeune homme de 17 ans environ. John Connor était quelqu'un de mauvais et malheureux : ses pieds puants et sa calvitie naissante faisaient de lui quelqu'un de très solitaire.

De plus en plus moche, les filles s'immolaient au kérosène quand il passait l'aspirateur tout nu en face du supermarché. Certes il essayait de ne pas choquer les mamies bleus qui mangeaient des cacahuètes rancies, cependant John aimait les regarder s'étouffer quand elles s'amusaient en sautant par dessus les poubelles jaunes et bariolées qui explosent dans les ruelles pavées de bœuf mariné. Soudain, un daim surgit d'une mobylette 103 SP de Onizouka ! Un professeur belge sur une allemande de Munich chantaient un hymne de Russie a l'envers avec John.

Effrayé, traumatisé par ses furoncles jaunâtre , il commença à crier pour se détendre. Il alla faire le tour de France en vélo cul-nu : la police d'écriture Webdings fit en sorte de modifier sa selle, véritable calvaire car ses genoux touchaient le guidon.

Depuis tout petit, il têtait amoureux d'un monstre mais elle pourrissait sa vie : elle lui brulait les orteils, les mains et la langue pour voir sa réaction de gamin et surtout le faire pleurer. Alors un jour, ou peut-être un an, il décida de corriger les fautes de son dernier amour d'été. Une étrange lueur rosâtre turquoise aveuglait sa mère. Toute la ville sombrait dans les ténèbres depuis que le tsar s'était rendu secrètement chez EDF pour y recharger sa bourse vide.

Wall-street, une rue pavée et peu connue car wall-street n'est que perversion et souffrance, contrairement à Nantes-la-moche, une ville prospère youp-la-boom, se faisait refaire sa place trouée par John Connor lors de la Saint Patrick de 2010. Effectivement, une aussi belle ville demande que John s'occupe des toilettes sinon, elle pourrait sentir des pieds et peu des fesses.

Tout Nantes était breton. Sauf, le quartier de la coquillette qui lui était normand. Un petit pas pour l'Homme, mais une perte pour l'anticonstitutionnelle révolution. Tout les suricates perdent instantanément au Black Jack, s'attaquant au croupion le plus proche. Ils lui arrachent la tête pour la retourner à l'expéditeur à grand coups de langue toute baveuse et pleine de pustules vert-caca d'oie. Seulement, une fille au physique parfait avec des yeux vert émeraude, elle regardait ses fesses fermes et sensuelles tandis que John bavait devant une vieille. Cette ancienne rivière entre deux montagne lugubre et sombre l'excitait au plus fort de sa personnalité héroïque peu encourageante. il décida de prendre son épée pour abattre du bois et faire une clôture
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MessageSujet: Re: Histoire sans fin ...   Histoire sans fin ... - Page 13 EmptyMar 22 Juin - 16:17



C'était l'histoire de John, un jeune homme de 17 ans environ. John Connor était quelqu'un de mauvais et malheureux : ses pieds puants et sa calvitie naissante faisaient de lui quelqu'un de très solitaire.

De plus en plus moche, les filles s'immolaient au kérosène quand il passait l'aspirateur tout nu en face du supermarché. Certes il essayait de ne pas choquer les mamies bleus qui mangeaient des cacahuètes rancies, cependant John aimait les regarder s'étouffer quand elles s'amusaient en sautant par dessus les poubelles jaunes et bariolées qui explosent dans les ruelles pavées de bœuf mariné. Soudain, un daim surgit d'une mobylette 103 SP de Onizouka ! Un professeur belge sur une allemande de Munich chantaient un hymne de Russie a l'envers avec John.

Effrayé, traumatisé par ses furoncles jaunâtre , il commença à crier pour se détendre. Il alla faire le tour de France en vélo cul-nu : la police d'écriture Webdings fit en sorte de modifier sa selle, véritable calvaire car ses genoux touchaient le guidon.

Depuis tout petit, il têtait amoureux d'un monstre mais elle pourrissait sa vie : elle lui brulait les orteils, les mains et la langue pour voir sa réaction de gamin et surtout le faire pleurer. Alors un jour, ou peut-être un an, il décida de corriger les fautes de son dernier amour d'été. Une étrange lueur rosâtre turquoise aveuglait sa mère. Toute la ville sombrait dans les ténèbres depuis que le tsar s'était rendu secrètement chez EDF pour y recharger sa bourse vide.

Wall-street, une rue pavée et peu connue car wall-street n'est que perversion et souffrance, contrairement à Nantes-la-moche, une ville prospère youp-la-boom, se faisait refaire sa place trouée par John Connor lors de la Saint Patrick de 2010. Effectivement, une aussi belle ville demande que John s'occupe des toilettes sinon, elle pourrait sentir des pieds et peu des fesses.

Tout Nantes était breton. Sauf, le quartier de la coquillette qui lui était normand. Un petit pas pour l'Homme, mais une perte pour l'anticonstitutionnelle révolution. Tout les suricates perdent instantanément au Black Jack, s'attaquant au croupion le plus proche. Ils lui arrachent la tête pour la retourner à l'expéditeur à grand coups de langue toute baveuse et pleine de pustules vert-caca d'oie. Seulement, une fille au physique parfait avec des yeux vert émeraude, elle regardait ses fesses fermes et sensuelles tandis que John bavait devant une vieille. Cette ancienne rivière entre deux montagne lugubre et sombre l'excitait au plus fort de sa personnalité héroïque peu encourageante. il décida de prendre son épée pour abattre du bois et faire une clôture de sécurité
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MessageSujet: Re: Histoire sans fin ...   Histoire sans fin ... - Page 13 EmptyMar 22 Juin - 19:05

C'était l'histoire de John, un jeune homme de 17 ans environ. John Connor était quelqu'un de mauvais et malheureux : ses pieds puants et sa calvitie naissante faisaient de lui quelqu'un de très solitaire.

De plus en plus moche, les filles s'immolaient au kérosène quand il passait l'aspirateur tout nu en face du supermarché. Certes il essayait de ne pas choquer les mamies bleus qui mangeaient des cacahuètes rancies, cependant John aimait les regarder s'étouffer quand elles s'amusaient en sautant par dessus les poubelles jaunes et bariolées qui explosent dans les ruelles pavées de bœuf mariné. Soudain, un daim surgit d'une mobylette 103 SP de Onizouka ! Un professeur belge sur une allemande de Munich chantaient un hymne de Russie a l'envers avec John.

Effrayé, traumatisé par ses furoncles jaunâtre , il commença à crier pour se détendre. Il alla faire le tour de France en vélo cul-nu : la police d'écriture Webdings fit en sorte de modifier sa selle, véritable calvaire car ses genoux touchaient le guidon.

Depuis tout petit, il têtait amoureux d'un monstre mais elle pourrissait sa vie : elle lui brulait les orteils, les mains et la langue pour voir sa réaction de gamin et surtout le faire pleurer. Alors un jour, ou peut-être un an, il décida de corriger les fautes de son dernier amour d'été. Une étrange lueur rosâtre turquoise aveuglait sa mère. Toute la ville sombrait dans les ténèbres depuis que le tsar s'était rendu secrètement chez EDF pour y recharger sa bourse vide.

Wall-street, une rue pavée et peu connue car wall-street n'est que perversion et souffrance, contrairement à Nantes-la-moche, une ville prospère youp-la-boom, se faisait refaire sa place trouée par John Connor lors de la Saint Patrick de 2010. Effectivement, une aussi belle ville demande que John s'occupe des toilettes sinon, elle pourrait sentir des pieds et peu des fesses.

Tout Nantes était breton. Sauf, le quartier de la coquillette qui lui était normand. Un petit pas pour l'Homme, mais une perte pour l'anticonstitutionnelle révolution. Tout les suricates perdent instantanément au Black Jack, s'attaquant au croupion le plus proche. Ils lui arrachent la tête pour la retourner à l'expéditeur à grand coups de langue toute baveuse et pleine de pustules vert-caca d'oie. Seulement, une fille au physique parfait avec des yeux vert émeraude, elle regardait ses fesses fermes et sensuelles tandis que John bavait devant une vieille. Cette ancienne rivière entre deux montagne lugubre et sombre l'excitait au plus fort de sa personnalité héroïque peu encourageante. il décida de prendre son épée pour abattre du bois et faire une clôture de sécurité anti-biches.
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MessageSujet: Re: Histoire sans fin ...   Histoire sans fin ... - Page 13 EmptyMar 22 Juin - 20:28

C'était l'histoire de John, un jeune homme de 17 ans environ. John Connor était quelqu'un de mauvais et malheureux : ses pieds puants et sa calvitie naissante faisaient de lui quelqu'un de très solitaire.

De plus en plus moche, les filles s'immolaient au kérosène quand il passait l'aspirateur tout nu en face du supermarché. Certes il essayait de ne pas choquer les mamies bleus qui mangeaient des cacahuètes rancies, cependant John aimait les regarder s'étouffer quand elles s'amusaient en sautant par dessus les poubelles jaunes et bariolées qui explosent dans les ruelles pavées de bœuf mariné. Soudain, un daim surgit d'une mobylette 103 SP de Onizouka ! Un professeur belge sur une allemande de Munich chantaient un hymne de Russie a l'envers avec John.

Effrayé, traumatisé par ses furoncles jaunâtre , il commença à crier pour se détendre. Il alla faire le tour de France en vélo cul-nu : la police d'écriture Webdings fit en sorte de modifier sa selle, véritable calvaire car ses genoux touchaient le guidon.

Depuis tout petit, il têtait amoureux d'un monstre mais elle pourrissait sa vie : elle lui brulait les orteils, les mains et la langue pour voir sa réaction de gamin et surtout le faire pleurer. Alors un jour, ou peut-être un an, il décida de corriger les fautes de son dernier amour d'été. Une étrange lueur rosâtre turquoise aveuglait sa mère. Toute la ville sombrait dans les ténèbres depuis que le tsar s'était rendu secrètement chez EDF pour y recharger sa bourse vide.

Wall-street, une rue pavée et peu connue car wall-street n'est que perversion et souffrance, contrairement à Nantes-la-moche, une ville prospère youp-la-boom, se faisait refaire sa place trouée par John Connor lors de la Saint Patrick de 2010. Effectivement, une aussi belle ville demande que John s'occupe des toilettes sinon, elle pourrait sentir des pieds et peu des fesses.

Tout Nantes était breton. Sauf, le quartier de la coquillette qui lui était normand. Un petit pas pour l'Homme, mais une perte pour l'anticonstitutionnelle révolution. Tout les suricates perdent instantanément au Black Jack, s'attaquant au croupion le plus proche. Ils lui arrachent la tête pour la retourner à l'expéditeur à grand coups de langue toute baveuse et pleine de pustules vert-caca d'oie. Seulement, une fille au physique parfait avec des yeux vert émeraude, elle regardait ses fesses fermes et sensuelles tandis que John bavait devant une vieille. Cette ancienne rivière entre deux montagne lugubre et sombre l'excitait au plus fort de sa personnalité héroïque peu encourageante. il décida de prendre son épée pour abattre du bois et faire une clôture de sécurité anti-biches.

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MessageSujet: Re: Histoire sans fin ...   Histoire sans fin ... - Page 13 EmptyJeu 1 Juil - 11:19

C'était l'histoire de John, un jeune homme de 17 ans environ. John Connor était quelqu'un de mauvais et malheureux : ses pieds puants et sa calvitie naissante faisaient de lui quelqu'un de très solitaire.

De plus en plus moche, les filles s'immolaient au kérosène quand il passait l'aspirateur tout nu en face du supermarché. Certes il essayait de ne pas choquer les mamies bleus qui mangeaient des cacahuètes rancies, cependant John aimait les regarder s'étouffer quand elles s'amusaient en sautant par dessus les poubelles jaunes et bariolées qui explosent dans les ruelles pavées de bœuf mariné. Soudain, un daim surgit d'une mobylette 103 SP de Onizouka ! Un professeur belge sur une allemande de Munich chantaient un hymne de Russie a l'envers avec John.

Effrayé, traumatisé par ses furoncles jaunâtre , il commença à crier pour se détendre. Il alla faire le tour de France en vélo cul-nu : la police d'écriture Webdings fit en sorte de modifier sa selle, véritable calvaire car ses genoux touchaient le guidon.

Depuis tout petit, il têtait amoureux d'un monstre mais elle pourrissait sa vie : elle lui brulait les orteils, les mains et la langue pour voir sa réaction de gamin et surtout le faire pleurer. Alors un jour, ou peut-être un an, il décida de corriger les fautes de son dernier amour d'été. Une étrange lueur rosâtre turquoise aveuglait sa mère. Toute la ville sombrait dans les ténèbres depuis que le tsar s'était rendu secrètement chez EDF pour y recharger sa bourse vide.

Wall-street, une rue pavée et peu connue car wall-street n'est que perversion et souffrance, contrairement à Nantes-la-moche, une ville prospère youp-la-boom, se faisait refaire sa place trouée par John Connor lors de la Saint Patrick de 2010. Effectivement, une aussi belle ville demande que John s'occupe des toilettes sinon, elle pourrait sentir des pieds et peu des fesses.

Tout Nantes était breton. Sauf, le quartier de la coquillette qui lui était normand. Un petit pas pour l'Homme, mais une perte pour l'anticonstitutionnelle révolution. Tout les suricates perdent instantanément au Black Jack, s'attaquant au croupion le plus proche. Ils lui arrachent la tête pour la retourner à l'expéditeur à grand coups de langue toute baveuse et pleine de pustules vert-caca d'oie. Seulement, une fille au physique parfait avec des yeux vert émeraude, elle regardait ses fesses fermes et sensuelles tandis que John bavait devant une vieille. Cette ancienne rivière entre deux montagne lugubre et sombre l'excitait au plus fort de sa personnalité héroïque peu encourageante. il décida de prendre son épée pour abattre du bois et faire une clôture de sécurité anti-biches.

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MessageSujet: Re: Histoire sans fin ...   Histoire sans fin ... - Page 13 EmptyJeu 1 Juil - 16:57

C'était l'histoire de John, un jeune homme de 17 ans environ. John Connor était quelqu'un de mauvais et malheureux : ses pieds puants et sa calvitie naissante faisaient de lui quelqu'un de très solitaire.

De plus en plus moche, les filles s'immolaient au kérosène quand il passait l'aspirateur tout nu en face du supermarché. Certes il essayait de ne pas choquer les mamies bleus qui mangeaient des cacahuètes rancies, cependant John aimait les regarder s'étouffer quand elles s'amusaient en sautant par dessus les poubelles jaunes et bariolées qui explosent dans les ruelles pavées de bœuf mariné. Soudain, un daim surgit d'une mobylette 103 SP de Onizouka ! Un professeur belge sur une allemande de Munich chantaient un hymne de Russie a l'envers avec John.

Effrayé, traumatisé par ses furoncles jaunâtre , il commença à crier pour se détendre. Il alla faire le tour de France en vélo cul-nu : la police d'écriture Webdings fit en sorte de modifier sa selle, véritable calvaire car ses genoux touchaient le guidon.

Depuis tout petit, il têtait amoureux d'un monstre mais elle pourrissait sa vie : elle lui brulait les orteils, les mains et la langue pour voir sa réaction de gamin et surtout le faire pleurer. Alors un jour, ou peut-être un an, il décida de corriger les fautes de son dernier amour d'été. Une étrange lueur rosâtre turquoise aveuglait sa mère. Toute la ville sombrait dans les ténèbres depuis que le tsar s'était rendu secrètement chez EDF pour y recharger sa bourse vide.

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Tout Nantes était breton. Sauf, le quartier de la coquillette qui lui était normand. Un petit pas pour l'Homme, mais une perte pour l'anticonstitutionnelle révolution. Tout les suricates perdent instantanément au Black Jack, s'attaquant au croupion le plus proche. Ils lui arrachent la tête pour la retourner à l'expéditeur à grand coups de langue toute baveuse et pleine de pustules vert-caca d'oie. Seulement, une fille au physique parfait avec des yeux vert émeraude, elle regardait ses fesses fermes et sensuelles tandis que John bavait devant une vieille. Cette ancienne rivière entre deux montagne lugubre et sombre l'excitait au plus fort de sa personnalité héroïque peu encourageante. il décida de prendre son épée pour abattre du bois et faire une clôture de sécurité anti-biches.

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MessageSujet: Re: Histoire sans fin ...   Histoire sans fin ... - Page 13 EmptyJeu 1 Juil - 17:30

C'était l'histoire de John, un jeune homme de 17 ans environ. John Connor était quelqu'un de mauvais et malheureux : ses pieds puants et sa calvitie naissante faisaient de lui quelqu'un de très solitaire.

De plus en plus moche, les filles s'immolaient au kérosène quand il passait l'aspirateur tout nu en face du supermarché. Certes il essayait de ne pas choquer les mamies bleus qui mangeaient des cacahuètes rancies, cependant John aimait les regarder s'étouffer quand elles s'amusaient en sautant par dessus les poubelles jaunes et bariolées qui explosent dans les ruelles pavées de bœuf mariné. Soudain, un daim surgit d'une mobylette 103 SP de Onizouka ! Un professeur belge sur une allemande de Munich chantaient un hymne de Russie a l'envers avec John.

Effrayé, traumatisé par ses furoncles jaunâtre , il commença à crier pour se détendre. Il alla faire le tour de France en vélo cul-nu : la police d'écriture Webdings fit en sorte de modifier sa selle, véritable calvaire car ses genoux touchaient le guidon.

Depuis tout petit, il têtait amoureux d'un monstre mais elle pourrissait sa vie : elle lui brulait les orteils, les mains et la langue pour voir sa réaction de gamin et surtout le faire pleurer. Alors un jour, ou peut-être un an, il décida de corriger les fautes de son dernier amour d'été. Une étrange lueur rosâtre turquoise aveuglait sa mère. Toute la ville sombrait dans les ténèbres depuis que le tsar s'était rendu secrètement chez EDF pour y recharger sa bourse vide.

Wall-street, une rue pavée et peu connue car wall-street n'est que perversion et souffrance, contrairement à Nantes-la-moche, une ville prospère youp-la-boom, se faisait refaire sa place trouée par John Connor lors de la Saint Patrick de 2010. Effectivement, une aussi belle ville demande que John s'occupe des toilettes sinon, elle pourrait sentir des pieds et peu des fesses.

Tout Nantes était breton. Sauf, le quartier de la coquillette qui lui était normand. Un petit pas pour l'Homme, mais une perte pour l'anticonstitutionnelle révolution. Tout les suricates perdent instantanément au Black Jack, s'attaquant au croupion le plus proche. Ils lui arrachent la tête pour la retourner à l'expéditeur à grand coups de langue toute baveuse et pleine de pustules vert-caca d'oie. Seulement, une fille au physique parfait avec des yeux vert émeraude, elle regardait ses fesses fermes et sensuelles tandis que John bavait devant une vieille. Cette ancienne rivière entre deux montagne lugubre et sombre l'excitait au plus fort de sa personnalité héroïque peu encourageante. il décida de prendre son épée pour abattre du bois et faire une clôture de sécurité anti-biches.

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MessageSujet: Re: Histoire sans fin ...   Histoire sans fin ... - Page 13 EmptyDim 4 Juil - 16:59

C'était l'histoire de John, un jeune homme de 17 ans environ. John Connor était quelqu'un de mauvais et malheureux : ses pieds puants et sa calvitie naissante faisaient de lui quelqu'un de très solitaire.

De plus en plus moche, les filles s'immolaient au kérosène quand il passait l'aspirateur tout nu en face du supermarché. Certes il essayait de ne pas choquer les mamies bleus qui mangeaient des cacahuètes rancies, cependant John aimait les regarder s'étouffer quand elles s'amusaient en sautant par dessus les poubelles jaunes et bariolées qui explosent dans les ruelles pavées de bœuf mariné. Soudain, un daim surgit d'une mobylette 103 SP de Onizouka ! Un professeur belge sur une allemande de Munich chantaient un hymne de Russie a l'envers avec John.

Effrayé, traumatisé par ses furoncles jaunâtre , il commença à crier pour se détendre. Il alla faire le tour de France en vélo cul-nu : la police d'écriture Webdings fit en sorte de modifier sa selle, véritable calvaire car ses genoux touchaient le guidon.

Depuis tout petit, il têtait amoureux d'un monstre mais elle pourrissait sa vie : elle lui brulait les orteils, les mains et la langue pour voir sa réaction de gamin et surtout le faire pleurer. Alors un jour, ou peut-être un an, il décida de corriger les fautes de son dernier amour d'été. Une étrange lueur rosâtre turquoise aveuglait sa mère. Toute la ville sombrait dans les ténèbres depuis que le tsar s'était rendu secrètement chez EDF pour y recharger sa bourse vide.

Wall-street, une rue pavée et peu connue car wall-street n'est que perversion et souffrance, contrairement à Nantes-la-moche, une ville prospère youp-la-boom, se faisait refaire sa place trouée par John Connor lors de la Saint Patrick de 2010. Effectivement, une aussi belle ville demande que John s'occupe des toilettes sinon, elle pourrait sentir des pieds et peu des fesses.

Tout Nantes était breton. Sauf, le quartier de la coquillette qui lui était normand. Un petit pas pour l'Homme, mais une perte pour l'anticonstitutionnelle révolution. Tout les suricates perdent instantanément au Black Jack, s'attaquant au croupion le plus proche. Ils lui arrachent la tête pour la retourner à l'expéditeur à grand coups de langue toute baveuse et pleine de pustules vert-caca d'oie. Seulement, une fille au physique parfait avec des yeux vert émeraude, elle regardait ses fesses fermes et sensuelles tandis que John bavait devant une vieille. Cette ancienne rivière entre deux montagne lugubre et sombre l'excitait au plus fort de sa personnalité héroïque peu encourageante. il décida de prendre son épée pour abattre du bois et faire une clôture de sécurité anti-biches.

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C'était l'histoire de John, un jeune homme de 17 ans environ. John Connor était quelqu'un de mauvais et malheureux : ses pieds puants et sa calvitie naissante faisaient de lui quelqu'un de très solitaire.

De plus en plus moche, les filles s'immolaient au kérosène quand il passait l'aspirateur tout nu en face du supermarché. Certes il essayait de ne pas choquer les mamies bleus qui mangeaient des cacahuètes rancies, cependant John aimait les regarder s'étouffer quand elles s'amusaient en sautant par dessus les poubelles jaunes et bariolées qui explosent dans les ruelles pavées de bœuf mariné. Soudain, un daim surgit d'une mobylette 103 SP de Onizouka ! Un professeur belge sur une allemande de Munich chantaient un hymne de Russie a l'envers avec John.

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C'était l'histoire de John, un jeune homme de 17 ans environ. John Connor était quelqu'un de mauvais et malheureux : ses pieds puants et sa calvitie naissante faisaient de lui quelqu'un de très solitaire.

De plus en plus moche, les filles s'immolaient au kérosène quand il passait l'aspirateur tout nu en face du supermarché. Certes il essayait de ne pas choquer les mamies bleus qui mangeaient des cacahuètes rancies, cependant John aimait les regarder s'étouffer quand elles s'amusaient en sautant par dessus les poubelles jaunes et bariolées qui explosent dans les ruelles pavées de bœuf mariné. Soudain, un daim surgit d'une mobylette 103 SP de Onizouka ! Un professeur belge sur une allemande de Munich chantaient un hymne de Russie a l'envers avec John.

Effrayé, traumatisé par ses furoncles jaunâtre , il commença à crier pour se détendre. Il alla faire le tour de France en vélo cul-nu : la police d'écriture Webdings fit en sorte de modifier sa selle, véritable calvaire car ses genoux touchaient le guidon.

Depuis tout petit, il têtait amoureux d'un monstre mais elle pourrissait sa vie : elle lui brulait les orteils, les mains et la langue pour voir sa réaction de gamin et surtout le faire pleurer. Alors un jour, ou peut-être un an, il décida de corriger les fautes de son dernier amour d'été. Une étrange lueur rosâtre turquoise aveuglait sa mère. Toute la ville sombrait dans les ténèbres depuis que le tsar s'était rendu secrètement chez EDF pour y recharger sa bourse vide.

Wall-street, une rue pavée et peu connue car wall-street n'est que perversion et souffrance, contrairement à Nantes-la-moche, une ville prospère youp-la-boom, se faisait refaire sa place trouée par John Connor lors de la Saint Patrick de 2010. Effectivement, une aussi belle ville demande que John s'occupe des toilettes sinon, elle pourrait sentir des pieds et peu des fesses.

Tout Nantes était breton. Sauf, le quartier de la coquillette qui lui était normand. Un petit pas pour l'Homme, mais une perte pour l'anticonstitutionnelle révolution. Tout les suricates perdent instantanément au Black Jack, s'attaquant au croupion le plus proche. Ils lui arrachent la tête pour la retourner à l'expéditeur à grand coups de langue toute baveuse et pleine de pustules vert-caca d'oie. Seulement, une fille au physique parfait avec des yeux vert émeraude, elle regardait ses fesses fermes et sensuelles tandis que John bavait devant une vieille. Cette ancienne rivière entre deux montagne lugubre et sombre l'excitait au plus fort de sa personnalité héroïque peu encourageante. il décida de prendre son épée pour abattre du bois et faire une clôture de sécurité anti-biches.

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MessageSujet: Re: Histoire sans fin ...   Histoire sans fin ... - Page 13 EmptyJeu 14 Oct - 19:00

C'était l'histoire de John, un jeune homme de 17 ans environ. John Connor était quelqu'un de mauvais et malheureux : ses pieds puants et sa calvitie naissante faisaient de lui quelqu'un de très solitaire.

De plus en plus moche, les filles s'immolaient au kérosène quand il passait l'aspirateur tout nu en face du supermarché. Certes il essayait de ne pas choquer les mamies bleus qui mangeaient des cacahuètes rancies, cependant John aimait les regarder s'étouffer quand elles s'amusaient en sautant par dessus les poubelles jaunes et bariolées qui explosent dans les ruelles pavées de bœuf mariné. Soudain, un daim surgit d'une mobylette 103 SP de Onizouka ! Un professeur belge sur une allemande de Munich chantaient un hymne de Russie a l'envers avec John.

Effrayé, traumatisé par ses furoncles jaunâtre , il commença à crier pour se détendre. Il alla faire le tour de France en vélo cul-nu : la police d'écriture Webdings fit en sorte de modifier sa selle, véritable calvaire car ses genoux touchaient le guidon.

Depuis tout petit, il têtait amoureux d'un monstre mais elle pourrissait sa vie : elle lui brulait les orteils, les mains et la langue pour voir sa réaction de gamin et surtout le faire pleurer. Alors un jour, ou peut-être un an, il décida de corriger les fautes de son dernier amour d'été. Une étrange lueur rosâtre turquoise aveuglait sa mère. Toute la ville sombrait dans les ténèbres depuis que le tsar s'était rendu secrètement chez EDF pour y recharger sa bourse vide.

Wall-street, une rue pavée et peu connue car wall-street n'est que perversion et souffrance, contrairement à Nantes-la-moche, une ville prospère youp-la-boom, se faisait refaire sa place trouée par John Connor lors de la Saint Patrick de 2010. Effectivement, une aussi belle ville demande que John s'occupe des toilettes sinon, elle pourrait sentir des pieds et peu des fesses.

Tout Nantes était breton. Sauf, le quartier de la coquillette qui lui était normand. Un petit pas pour l'Homme, mais une perte pour l'anticonstitutionnelle révolution. Tout les suricates perdent instantanément au Black Jack, s'attaquant au croupion le plus proche. Ils lui arrachent la tête pour la retourner à l'expéditeur à grand coups de langue toute baveuse et pleine de pustules vert-caca d'oie. Seulement, une fille au physique parfait avec des yeux vert émeraude, elle regardait ses fesses fermes et sensuelles tandis que John bavait devant une vieille. Cette ancienne rivière entre deux montagne lugubre et sombre l'excitait au plus fort de sa personnalité héroïque peu encourageante. il décida de prendre son épée pour abattre du bois et faire une clôture de sécurité anti-biches.

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MessageSujet: Re: Histoire sans fin ...   Histoire sans fin ... - Page 13 EmptyDim 17 Oct - 20:43

C'était l'histoire de John, un jeune homme de 17 ans environ. John Connor était quelqu'un de mauvais et malheureux : ses pieds puants et sa calvitie naissante faisaient de lui quelqu'un de très solitaire.

De plus en plus moche, les filles s'immolaient au kérosène quand il passait l'aspirateur tout nu en face du supermarché. Certes il essayait de ne pas choquer les mamies bleus qui mangeaient des cacahuètes rancies, cependant John aimait les regarder s'étouffer quand elles s'amusaient en sautant par dessus les poubelles jaunes et bariolées qui explosent dans les ruelles pavées de bœuf mariné. Soudain, un daim surgit d'une mobylette 103 SP de Onizouka ! Un professeur belge sur une allemande de Munich chantaient un hymne de Russie a l'envers avec John.

Effrayé, traumatisé par ses furoncles jaunâtre , il commença à crier pour se détendre. Il alla faire le tour de France en vélo cul-nu : la police d'écriture Webdings fit en sorte de modifier sa selle, véritable calvaire car ses genoux touchaient le guidon.

Depuis tout petit, il têtait amoureux d'un monstre mais elle pourrissait sa vie : elle lui brulait les orteils, les mains et la langue pour voir sa réaction de gamin et surtout le faire pleurer. Alors un jour, ou peut-être un an, il décida de corriger les fautes de son dernier amour d'été. Une étrange lueur rosâtre turquoise aveuglait sa mère. Toute la ville sombrait dans les ténèbres depuis que le tsar s'était rendu secrètement chez EDF pour y recharger sa bourse vide.

Wall-street, une rue pavée et peu connue car wall-street n'est que perversion et souffrance, contrairement à Nantes-la-moche, une ville prospère youp-la-boom, se faisait refaire sa place trouée par John Connor lors de la Saint Patrick de 2010. Effectivement, une aussi belle ville demande que John s'occupe des toilettes sinon, elle pourrait sentir des pieds et peu des fesses.

Tout Nantes était breton. Sauf, le quartier de la coquillette qui lui était normand. Un petit pas pour l'Homme, mais une perte pour l'anticonstitutionnelle révolution. Tout les suricates perdent instantanément au Black Jack, s'attaquant au croupion le plus proche. Ils lui arrachent la tête pour la retourner à l'expéditeur à grand coups de langue toute baveuse et pleine de pustules vert-caca d'oie. Seulement, une fille au physique parfait avec des yeux vert émeraude, elle regardait ses fesses fermes et sensuelles tandis que John bavait devant une vieille. Cette ancienne rivière entre deux montagne lugubre et sombre l'excitait au plus fort de sa personnalité héroïque peu encourageante. il décida de prendre son épée pour abattre du bois et faire une clôture de sécurité anti-biches.

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MessageSujet: Re: Histoire sans fin ...   Histoire sans fin ... - Page 13 EmptyDim 17 Oct - 22:37

C'était l'histoire de John, un jeune homme de 17 ans environ. John Connor était quelqu'un de mauvais et malheureux : ses pieds puants et sa calvitie naissante faisaient de lui quelqu'un de très solitaire.

De plus en plus moche, les filles s'immolaient au kérosène quand il passait l'aspirateur tout nu en face du supermarché. Certes il essayait de ne pas choquer les mamies bleus qui mangeaient des cacahuètes rancies, cependant John aimait les regarder s'étouffer quand elles s'amusaient en sautant par dessus les poubelles jaunes et bariolées qui explosent dans les ruelles pavées de bœuf mariné. Soudain, un daim surgit d'une mobylette 103 SP de Onizouka ! Un professeur belge sur une allemande de Munich chantaient un hymne de Russie a l'envers avec John.

Effrayé, traumatisé par ses furoncles jaunâtre , il commença à crier pour se détendre. Il alla faire le tour de France en vélo cul-nu : la police d'écriture Webdings fit en sorte de modifier sa selle, véritable calvaire car ses genoux touchaient le guidon.

Depuis tout petit, il était amoureux d'un monstre mais elle pourrissait sa vie : elle lui brulait les orteils, les mains et la langue pour voir sa réaction de gamin et surtout le faire pleurer. Alors un jour, ou peut-être un an, il décida de corriger les fautes de son dernier amour d'été. Une étrange lueur rosâtre turquoise aveuglait sa mère. Toute la ville sombrait dans les ténèbres depuis que le tsar s'était rendu secrètement chez EDF pour y recharger sa bourse vide.

Wall-street, une rue pavée et peu connue car wall-street n'est que perversion et souffrance, contrairement à Nantes-la-moche, une ville prospère youp-la-boom, se faisait refaire sa place trouée par John Connor lors de la Saint Patrick de 2010. Effectivement, une aussi belle ville demande que John s'occupe des toilettes sinon, elle pourrait sentir des pieds et peu des fesses.

Tout Nantes était breton. Sauf, le quartier de la coquillette qui, lui, était normand. Un petit pas pour l'Homme, mais une perte pour l'anticonstitutionnelle révolution. Tout les suricates perdent instantanément au Black Jack, s'attaquant au croupion le plus proche. Ils lui arrachent la tête pour la retourner à l'expéditeur à grand coups de langue toute baveuse et pleine de pustules vert-caca d'oie. Seulement, une fille au physique parfait avec des yeux vert émeraude, elle regardait ses fesses fermes et sensuelles tandis que John bavait devant une vieille. Cette ancienne rivière entre deux montagne lugubre et sombre l'excitait au plus fort de sa personnalité héroïque peu encourageante. il décida de prendre son épée pour abattre du bois et faire une clôture de sécurité anti-biches.

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MessageSujet: Re: Histoire sans fin ...   Histoire sans fin ... - Page 13 EmptyLun 18 Oct - 11:50

C'était l'histoire de John, un jeune homme de 17 ans environ. John Connor était quelqu'un de mauvais et malheureux : ses pieds puants et sa calvitie naissante faisaient de lui quelqu'un de très solitaire.

De plus en plus moche, les filles s'immolaient au kérosène quand il passait l'aspirateur tout nu en face du supermarché. Certes il essayait de ne pas choquer les mamies bleus qui mangeaient des cacahuètes rancies, cependant John aimait les regarder s'étouffer quand elles s'amusaient en sautant par dessus les poubelles jaunes et bariolées qui explosent dans les ruelles pavées de bœuf mariné. Soudain, un daim surgit d'une mobylette 103 SP de Onizouka ! Un professeur belge sur une allemande de Munich chantaient un hymne de Russie a l'envers avec John.

Effrayé, traumatisé par ses furoncles jaunâtre , il commença à crier pour se détendre. Il alla faire le tour de France en vélo cul-nu : la police d'écriture Webdings fit en sorte de modifier sa selle, véritable calvaire car ses genoux touchaient le guidon.

Depuis tout petit, il était amoureux d'un monstre mais elle pourrissait sa vie : elle lui brulait les orteils, les mains et la langue pour voir sa réaction de gamin et surtout le faire pleurer. Alors un jour, ou peut-être un an, il décida de corriger les fautes de son dernier amour d'été. Une étrange lueur rosâtre turquoise aveuglait sa mère. Toute la ville sombrait dans les ténèbres depuis que le tsar s'était rendu secrètement chez EDF pour y recharger sa bourse vide.

Wall-street, une rue pavée et peu connue car wall-street n'est que perversion et souffrance, contrairement à Nantes-la-moche, une ville prospère youp-la-boom, se faisait refaire sa place trouée par John Connor lors de la Saint Patrick de 2010. Effectivement, une aussi belle ville demande que John s'occupe des toilettes sinon, elle pourrait sentir des pieds et peu des fesses.

Tout Nantes était breton. Sauf, le quartier de la coquillette qui, lui, était normand. Un petit pas pour l'Homme, mais une perte pour l'anticonstitutionnelle révolution. Tout les suricates perdent instantanément au Black Jack, s'attaquant au croupion le plus proche. Ils lui arrachent la tête pour la retourner à l'expéditeur à grand coups de langue toute baveuse et pleine de pustules vert-caca d'oie. Seulement, une fille au physique parfait avec des yeux vert émeraude, elle regardait ses fesses fermes et sensuelles tandis que John bavait devant une vieille. Cette ancienne rivière entre deux montagne lugubre et sombre l'excitait au plus fort de sa personnalité héroïque peu encourageante. il décida de prendre son épée pour abattre du bois et faire une clôture de sécurité anti-biches.

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MessageSujet: Re: Histoire sans fin ...   Histoire sans fin ... - Page 13 EmptyLun 18 Oct - 12:00

C'était l'histoire de John, un jeune homme de 17 ans environ. John Connor était quelqu'un de mauvais et malheureux : ses pieds puants et sa calvitie naissante faisaient de lui quelqu'un de très solitaire.

De plus en plus moche, les filles s'immolaient au kérosène quand il passait l'aspirateur tout nu en face du supermarché. Certes il essayait de ne pas choquer les mamies bleus qui mangeaient des cacahuètes rancies, cependant John aimait les regarder s'étouffer quand elles s'amusaient en sautant par dessus les poubelles jaunes et bariolées qui explosent dans les ruelles pavées de bœuf mariné. Soudain, un daim surgit d'une mobylette 103 SP de Onizouka ! Un professeur belge sur une allemande de Munich chantaient un hymne de Russie a l'envers avec John.

Effrayé, traumatisé par ses furoncles jaunâtre , il commença à crier pour se détendre. Il alla faire le tour de France en vélo cul-nu : la police d'écriture Webdings fit en sorte de modifier sa selle, véritable calvaire car ses genoux touchaient le guidon.

Depuis tout petit, il était amoureux d'un monstre mais elle pourrissait sa vie : elle lui brulait les orteils, les mains et la langue pour voir sa réaction de gamin et surtout le faire pleurer. Alors un jour, ou peut-être un an, il décida de corriger les fautes de son dernier amour d'été. Une étrange lueur rosâtre turquoise aveuglait sa mère. Toute la ville sombrait dans les ténèbres depuis que le tsar s'était rendu secrètement chez EDF pour y recharger sa bourse vide.

Wall-street, une rue pavée et peu connue car wall-street n'est que perversion et souffrance, contrairement à Nantes-la-moche, une ville prospère youp-la-boom, se faisait refaire sa place trouée par John Connor lors de la Saint Patrick de 2010. Effectivement, une aussi belle ville demande que John s'occupe des toilettes sinon, elle pourrait sentir des pieds et peu des fesses.

Tout Nantes était breton. Sauf, le quartier de la coquillette qui, lui, était normand. Un petit pas pour l'Homme, mais une perte pour l'anticonstitutionnelle révolution. Tout les suricates perdent instantanément au Black Jack, s'attaquant au croupion le plus proche. Ils lui arrachent la tête pour la retourner à l'expéditeur à grand coups de langue toute baveuse et pleine de pustules vert-caca d'oie. Seulement, une fille au physique parfait avec des yeux vert émeraude, elle regardait ses fesses fermes et sensuelles tandis que John bavait devant une vieille. Cette ancienne rivière entre deux montagne lugubre et sombre l'excitait au plus fort de sa personnalité héroïque peu encourageante. il décida de prendre son épée pour abattre du bois et faire une clôture de sécurité anti-biches.

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MessageSujet: Re: Histoire sans fin ...   Histoire sans fin ... - Page 13 EmptyLun 18 Oct - 15:35

C'était l'histoire de John, un jeune homme de 17 ans environ. John Connor était quelqu'un de mauvais et malheureux : ses pieds puants et sa calvitie naissante faisaient de lui quelqu'un de très solitaire.

De plus en plus moche, les filles s'immolaient au kérosène quand il passait l'aspirateur tout nu en face du supermarché. Certes il essayait de ne pas choquer les mamies bleus qui mangeaient des cacahuètes rancies, cependant John aimait les regarder s'étouffer quand elles s'amusaient en sautant par dessus les poubelles jaunes et bariolées qui explosent dans les ruelles pavées de bœuf mariné. Soudain, un daim surgit d'une mobylette 103 SP de Onizouka ! Un professeur belge sur une allemande de Munich chantaient un hymne de Russie a l'envers avec John.

Effrayé, traumatisé par ses furoncles jaunâtre , il commença à crier pour se détendre. Il alla faire le tour de France en vélo cul-nu : la police d'écriture Webdings fit en sorte de modifier sa selle, véritable calvaire car ses genoux touchaient le guidon.

Depuis tout petit, il était amoureux d'un monstre mais elle pourrissait sa vie : elle lui brulait les orteils, les mains et la langue pour voir sa réaction de gamin et surtout le faire pleurer. Alors un jour, ou peut-être un an, il décida de corriger les fautes de son dernier amour d'été. Une étrange lueur rosâtre turquoise aveuglait sa mère. Toute la ville sombrait dans les ténèbres depuis que le tsar s'était rendu secrètement chez EDF pour y recharger sa bourse vide.

Wall-street, une rue pavée et peu connue car wall-street n'est que perversion et souffrance, contrairement à Nantes-la-moche, une ville prospère youp-la-boom, se faisait refaire sa place trouée par John Connor lors de la Saint Patrick de 2010. Effectivement, une aussi belle ville demande que John s'occupe des toilettes sinon, elle pourrait sentir des pieds et peu des fesses.

Tout Nantes était breton. Sauf, le quartier de la coquillette qui, lui, était normand. Un petit pas pour l'Homme, mais une perte pour l'anticonstitutionnelle révolution. Tout les suricates perdent instantanément au Black Jack, s'attaquant au croupion le plus proche. Ils lui arrachent la tête pour la retourner à l'expéditeur à grand coups de langue toute baveuse et pleine de pustules vert-caca d'oie. Seulement, une fille au physique parfait avec des yeux vert émeraude, elle regardait ses fesses fermes et sensuelles tandis que John bavait devant une vieille. Cette ancienne rivière entre deux montagne lugubre et sombre l'excitait au plus fort de sa personnalité héroïque peu encourageante. il décida de prendre son épée pour abattre du bois et faire une clôture de sécurité anti-biches.

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MessageSujet: Re: Histoire sans fin ...   Histoire sans fin ... - Page 13 EmptyLun 18 Oct - 19:14

C'était l'histoire de John, un jeune homme de 17 ans environ. John Connor était quelqu'un de mauvais et malheureux : ses pieds puants et sa calvitie naissante faisaient de lui quelqu'un de très solitaire.

De plus en plus moche, les filles s'immolaient au kérosène quand il passait l'aspirateur tout nu en face du supermarché. Certes il essayait de ne pas choquer les mamies bleus qui mangeaient des cacahuètes rancies, cependant John aimait les regarder s'étouffer quand elles s'amusaient en sautant par dessus les poubelles jaunes et bariolées qui explosent dans les ruelles pavées de bœuf mariné. Soudain, un daim surgit d'une mobylette 103 SP de Onizouka ! Un professeur belge sur une allemande de Munich chantaient un hymne de Russie a l'envers avec John.

Effrayé, traumatisé par ses furoncles jaunâtre , il commença à crier pour se détendre. Il alla faire le tour de France en vélo cul-nu : la police d'écriture Webdings fit en sorte de modifier sa selle, véritable calvaire car ses genoux touchaient le guidon.

Depuis tout petit, il était amoureux d'un monstre mais elle pourrissait sa vie : elle lui brulait les orteils, les mains et la langue pour voir sa réaction de gamin et surtout le faire pleurer. Alors un jour, ou peut-être un an, il décida de corriger les fautes de son dernier amour d'été. Une étrange lueur rosâtre turquoise aveuglait sa mère. Toute la ville sombrait dans les ténèbres depuis que le tsar s'était rendu secrètement chez EDF pour y recharger sa bourse vide.

Wall-street, une rue pavée et peu connue car wall-street n'est que perversion et souffrance, contrairement à Nantes-la-moche, une ville prospère youp-la-boom, se faisait refaire sa place trouée par John Connor lors de la Saint Patrick de 2010. Effectivement, une aussi belle ville demande que John s'occupe des toilettes sinon, elle pourrait sentir des pieds et peu des fesses.

Tout Nantes était breton. Sauf, le quartier de la coquillette qui, lui, était normand. Un petit pas pour l'Homme, mais une perte pour l'anticonstitutionnelle révolution. Tout les suricates perdent instantanément au Black Jack, s'attaquant au croupion le plus proche. Ils lui arrachent la tête pour la retourner à l'expéditeur à grand coups de langue toute baveuse et pleine de pustules vert-caca d'oie. Seulement, une fille au physique parfait avec des yeux vert émeraude, elle regardait ses fesses fermes et sensuelles tandis que John bavait devant une vieille. Cette ancienne rivière entre deux montagne lugubre et sombre l'excitait au plus fort de sa personnalité héroïque peu encourageante. il décida de prendre son épée pour abattre du bois et faire une clôture de sécurité anti-biches.

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MessageSujet: Re: Histoire sans fin ...   Histoire sans fin ... - Page 13 EmptyLun 18 Oct - 19:31

C'était l'histoire de John, un jeune homme de 17 ans environ. John Connor était quelqu'un de mauvais et malheureux : ses pieds puants et sa calvitie naissante faisaient de lui quelqu'un de très solitaire.

De plus en plus moche, les filles s'immolaient au kérosène quand il passait l'aspirateur tout nu en face du supermarché. Certes il essayait de ne pas choquer les mamies bleus qui mangeaient des cacahuètes rancies, cependant John aimait les regarder s'étouffer quand elles s'amusaient en sautant par dessus les poubelles jaunes et bariolées qui explosent dans les ruelles pavées de bœuf mariné. Soudain, un daim surgit d'une mobylette 103 SP de Onizouka ! Un professeur belge sur une allemande de Munich chantaient un hymne de Russie a l'envers avec John.

Effrayé, traumatisé par ses furoncles jaunâtre , il commença à crier pour se détendre. Il alla faire le tour de France en vélo cul-nu : la police d'écriture Webdings fit en sorte de modifier sa selle, véritable calvaire car ses genoux touchaient le guidon.

Depuis tout petit, il était amoureux d'un monstre mais elle pourrissait sa vie : elle lui brulait les orteils, les mains et la langue pour voir sa réaction de gamin et surtout le faire pleurer. Alors un jour, ou peut-être un an, il décida de corriger les fautes de son dernier amour d'été. Une étrange lueur rosâtre turquoise aveuglait sa mère. Toute la ville sombrait dans les ténèbres depuis que le tsar s'était rendu secrètement chez EDF pour y recharger sa bourse vide.

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Tout Nantes était breton. Sauf, le quartier de la coquillette qui, lui, était normand. Un petit pas pour l'Homme, mais une perte pour l'anticonstitutionnelle révolution. Tout les suricates perdent instantanément au Black Jack, s'attaquant au croupion le plus proche. Ils lui arrachent la tête pour la retourner à l'expéditeur à grand coups de langue toute baveuse et pleine de pustules vert-caca d'oie. Seulement, une fille au physique parfait avec des yeux vert émeraude, elle regardait ses fesses fermes et sensuelles tandis que John bavait devant une vieille. Cette ancienne rivière entre deux montagne lugubre et sombre l'excitait au plus fort de sa personnalité héroïque peu encourageante. il décida de prendre son épée pour abattre du bois et faire une clôture de sécurité anti-biches.

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MessageSujet: Re: Histoire sans fin ...   Histoire sans fin ... - Page 13 EmptyLun 18 Oct - 21:21

C'était l'histoire de John, un jeune homme de 17 ans environ. John Connor était quelqu'un de mauvais et malheureux : ses pieds puants et sa calvitie naissante faisaient de lui quelqu'un de très solitaire.

De plus en plus moche, les filles s'immolaient au kérosène quand il passait l'aspirateur tout nu en face du supermarché. Certes il essayait de ne pas choquer les mamies bleus qui mangeaient des cacahuètes rancies, cependant John aimait les regarder s'étouffer quand elles s'amusaient en sautant par dessus les poubelles jaunes et bariolées qui explosent dans les ruelles pavées de bœuf mariné. Soudain, un daim surgit d'une mobylette 103 SP de Onizouka ! Un professeur belge sur une allemande de Munich chantaient un hymne de Russie a l'envers avec John.

Effrayé, traumatisé par ses furoncles jaunâtre , il commença à crier pour se détendre. Il alla faire le tour de France en vélo cul-nu : la police d'écriture Webdings fit en sorte de modifier sa selle, véritable calvaire car ses genoux touchaient le guidon.

Depuis tout petit, il était amoureux d'un monstre mais elle pourrissait sa vie : elle lui brulait les orteils, les mains et la langue pour voir sa réaction de gamin et surtout le faire pleurer. Alors un jour, ou peut-être un an, il décida de corriger les fautes de son dernier amour d'été. Une étrange lueur rosâtre turquoise aveuglait sa mère. Toute la ville sombrait dans les ténèbres depuis que le tsar s'était rendu secrètement chez EDF pour y recharger sa bourse vide.

Wall-street, une rue pavée et peu connue car wall-street n'est que perversion et souffrance, contrairement à Nantes-la-moche, une ville prospère youp-la-boom, se faisait refaire sa place trouée par John Connor lors de la Saint Patrick de 2010. Effectivement, une aussi belle ville demande que John s'occupe des toilettes sinon, elle pourrait sentir des pieds et peu des fesses.

Tout Nantes était breton. Sauf, le quartier de la coquillette qui, lui, était normand. Un petit pas pour l'Homme, mais une perte pour l'anticonstitutionnelle révolution. Tout les suricates perdent instantanément au Black Jack, s'attaquant au croupion le plus proche. Ils lui arrachent la tête pour la retourner à l'expéditeur à grand coups de langue toute baveuse et pleine de pustules vert-caca d'oie. Seulement, une fille au physique parfait avec des yeux vert émeraude, elle regardait ses fesses fermes et sensuelles tandis que John bavait devant une vieille. Cette ancienne rivière entre deux montagne lugubre et sombre l'excitait au plus fort de sa personnalité héroïque peu encourageante. il décida de prendre son épée pour abattre du bois et faire une clôture de sécurité anti-biches.

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C'était l'histoire de John, un jeune homme de 17 ans environ. John Connor était quelqu'un de mauvais et malheureux : ses pieds puants et sa calvitie naissante faisaient de lui quelqu'un de très solitaire.

De plus en plus moche, les filles s'immolaient au kérosène quand il passait l'aspirateur tout nu en face du supermarché. Certes il essayait de ne pas choquer les mamies bleus qui mangeaient des cacahuètes rancies, cependant John aimait les regarder s'étouffer quand elles s'amusaient en sautant par dessus les poubelles jaunes et bariolées qui explosent dans les ruelles pavées de bœuf mariné. Soudain, un daim surgit d'une mobylette 103 SP de Onizouka ! Un professeur belge sur une allemande de Munich chantaient un hymne de Russie a l'envers avec John.

Effrayé, traumatisé par ses furoncles jaunâtre , il commença à crier pour se détendre. Il alla faire le tour de France en vélo cul-nu : la police d'écriture Webdings fit en sorte de modifier sa selle, véritable calvaire car ses genoux touchaient le guidon.

Depuis tout petit, il était amoureux d'un monstre mais elle pourrissait sa vie : elle lui brulait les orteils, les mains et la langue pour voir sa réaction de gamin et surtout le faire pleurer. Alors un jour, ou peut-être un an, il décida de corriger les fautes de son dernier amour d'été. Une étrange lueur rosâtre turquoise aveuglait sa mère. Toute la ville sombrait dans les ténèbres depuis que le tsar s'était rendu secrètement chez EDF pour y recharger sa bourse vide.

Wall-street, une rue pavée et peu connue car wall-street n'est que perversion et souffrance, contrairement à Nantes-la-moche, une ville prospère youp-la-boom, se faisait refaire sa place trouée par John Connor lors de la Saint Patrick de 2010. Effectivement, une aussi belle ville demande que John s'occupe des toilettes sinon, elle pourrait sentir des pieds et peu des fesses.

Tout Nantes était breton. Sauf, le quartier de la coquillette qui, lui, était normand. Un petit pas pour l'Homme, mais une perte pour l'anticonstitutionnelle révolution. Tout les suricates perdent instantanément au Black Jack, s'attaquant au croupion le plus proche. Ils lui arrachent la tête pour la retourner à l'expéditeur à grand coups de langue toute baveuse et pleine de pustules vert-caca d'oie. Seulement, une fille au physique parfait avec des yeux vert émeraude, elle regardait ses fesses fermes et sensuelles tandis que John bavait devant une vieille. Cette ancienne rivière entre deux montagne lugubre et sombre l'excitait au plus fort de sa personnalité héroïque peu encourageante. il décida de prendre son épée pour abattre du bois et faire une clôture de sécurité anti-biches.

kira, une redoutable guerrière adepte, a tué Kennedy lors d'une soirée de bienfaisance organisé par l'union soviétique, réunifiée lors d'un
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MessageSujet: Re: Histoire sans fin ...   Histoire sans fin ... - Page 13 EmptyMar 19 Oct - 8:03

C'était l'histoire de John, un jeune homme de 17 ans environ. John Connor était quelqu'un de mauvais et malheureux : ses pieds puants et sa calvitie naissante faisaient de lui quelqu'un de très solitaire.

De plus en plus moche, les filles s'immolaient au kérosène quand il passait l'aspirateur tout nu en face du supermarché. Certes il essayait de ne pas choquer les mamies bleus qui mangeaient des cacahuètes rancies, cependant John aimait les regarder s'étouffer quand elles s'amusaient en sautant par dessus les poubelles jaunes et bariolées qui explosent dans les ruelles pavées de bœuf mariné. Soudain, un daim surgit d'une mobylette 103 SP de Onizouka ! Un professeur belge sur une allemande de Munich chantaient un hymne de Russie a l'envers avec John.

Effrayé, traumatisé par ses furoncles jaunâtre , il commença à crier pour se détendre. Il alla faire le tour de France en vélo cul-nu : la police d'écriture Webdings fit en sorte de modifier sa selle, véritable calvaire car ses genoux touchaient le guidon.

Depuis tout petit, il était amoureux d'un monstre mais elle pourrissait sa vie : elle lui brulait les orteils, les mains et la langue pour voir sa réaction de gamin et surtout le faire pleurer. Alors un jour, ou peut-être un an, il décida de corriger les fautes de son dernier amour d'été. Une étrange lueur rosâtre turquoise aveuglait sa mère. Toute la ville sombrait dans les ténèbres depuis que le tsar s'était rendu secrètement chez EDF pour y recharger sa bourse vide.

Wall-street, une rue pavée et peu connue car wall-street n'est que perversion et souffrance, contrairement à Nantes-la-moche, une ville prospère youp-la-boom, se faisait refaire sa place trouée par John Connor lors de la Saint Patrick de 2010. Effectivement, une aussi belle ville demande que John s'occupe des toilettes sinon, elle pourrait sentir des pieds et peu des fesses.

Tout Nantes était breton. Sauf, le quartier de la coquillette qui, lui, était normand. Un petit pas pour l'Homme, mais une perte pour l'anticonstitutionnelle révolution. Tout les suricates perdent instantanément au Black Jack, s'attaquant au croupion le plus proche. Ils lui arrachent la tête pour la retourner à l'expéditeur à grand coups de langue toute baveuse et pleine de pustules vert-caca d'oie. Seulement, une fille au physique parfait avec des yeux vert émeraude, elle regardait ses fesses fermes et sensuelles tandis que John bavait devant une vieille. Cette ancienne rivière entre deux montagne lugubre et sombre l'excitait au plus fort de sa personnalité héroïque peu encourageante. il décida de prendre son épée pour abattre du bois et faire une clôture de sécurité anti-biches.

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MessageSujet: Re: Histoire sans fin ...   Histoire sans fin ... - Page 13 EmptyMar 19 Oct - 9:38

C'était l'histoire de John, un jeune homme de 17 ans environ. John Connor était quelqu'un de mauvais et malheureux : ses pieds puants et sa calvitie naissante faisaient de lui quelqu'un de très solitaire.

De plus en plus moche, les filles s'immolaient au kérosène quand il passait l'aspirateur tout nu en face du supermarché. Certes il essayait de ne pas choquer les mamies bleus qui mangeaient des cacahuètes rancies, cependant John aimait les regarder s'étouffer quand elles s'amusaient en sautant par dessus les poubelles jaunes et bariolées qui explosent dans les ruelles pavées de bœuf mariné. Soudain, un daim surgit d'une mobylette 103 SP de Onizouka ! Un professeur belge sur une allemande de Munich chantaient un hymne de Russie a l'envers avec John.

Effrayé, traumatisé par ses furoncles jaunâtre , il commença à crier pour se détendre. Il alla faire le tour de France en vélo cul-nu : la police d'écriture Webdings fit en sorte de modifier sa selle, véritable calvaire car ses genoux touchaient le guidon.

Depuis tout petit, il était amoureux d'un monstre mais elle pourrissait sa vie : elle lui brulait les orteils, les mains et la langue pour voir sa réaction de gamin et surtout le faire pleurer. Alors un jour, ou peut-être un an, il décida de corriger les fautes de son dernier amour d'été. Une étrange lueur rosâtre turquoise aveuglait sa mère. Toute la ville sombrait dans les ténèbres depuis que le tsar s'était rendu secrètement chez EDF pour y recharger sa bourse vide.

Wall-street, une rue pavée et peu connue car wall-street n'est que perversion et souffrance, contrairement à Nantes-la-moche, une ville prospère youp-la-boom, se faisait refaire sa place trouée par John Connor lors de la Saint Patrick de 2010. Effectivement, une aussi belle ville demande que John s'occupe des toilettes sinon, elle pourrait sentir des pieds et peu des fesses.

Tout Nantes était breton. Sauf, le quartier de la coquillette qui, lui, était normand. Un petit pas pour l'Homme, mais une perte pour l'anticonstitutionnelle révolution. Tout les suricates perdent instantanément au Black Jack, s'attaquant au croupion le plus proche. Ils lui arrachent la tête pour la retourner à l'expéditeur à grand coups de langue toute baveuse et pleine de pustules vert-caca d'oie. Seulement, une fille au physique parfait avec des yeux vert émeraude, elle regardait ses fesses fermes et sensuelles tandis que John bavait devant une vieille. Cette ancienne rivière entre deux montagne lugubre et sombre l'excitait au plus fort de sa personnalité héroïque peu encourageante. il décida de prendre son épée pour abattre du bois et faire une clôture de sécurité anti-biches.

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Effrayé, traumatisé par ses furoncles jaunâtre , il commença à crier pour se détendre. Il alla faire le tour de France en vélo cul-nu : la police d'écriture Webdings fit en sorte de modifier sa selle, véritable calvaire car ses genoux touchaient le guidon.

Depuis tout petit, il était amoureux d'un monstre mais elle pourrissait sa vie : elle lui brulait les orteils, les mains et la langue pour voir sa réaction de gamin et surtout le faire pleurer. Alors un jour, ou peut-être un an, il décida de corriger les fautes de son dernier amour d'été. Une étrange lueur rosâtre turquoise aveuglait sa mère. Toute la ville sombrait dans les ténèbres depuis que le tsar s'était rendu secrètement chez EDF pour y recharger sa bourse vide.

Wall-street, une rue pavée et peu connue car wall-street n'est que perversion et souffrance, contrairement à Nantes-la-moche, une ville prospère youp-la-boom, se faisait refaire sa place trouée par John Connor lors de la Saint Patrick de 2010. Effectivement, une aussi belle ville demande que John s'occupe des toilettes sinon, elle pourrait sentir des pieds et peu des fesses.

Tout Nantes était breton. Sauf, le quartier de la coquillette qui, lui, était normand. Un petit pas pour l'Homme, mais une perte pour l'anticonstitutionnelle révolution. Tout les suricates perdent instantanément au Black Jack, s'attaquant au croupion le plus proche. Ils lui arrachent la tête pour la retourner à l'expéditeur à grand coups de langue toute baveuse et pleine de pustules vert-caca d'oie. Seulement, une fille au physique parfait avec des yeux vert émeraude, elle regardait ses fesses fermes et sensuelles tandis que John bavait devant une vieille. Cette ancienne rivière entre deux montagne lugubre et sombre l'excitait au plus fort de sa personnalité héroïque peu encourageante. il décida de prendre son épée pour abattre du bois et faire une clôture de sécurité anti-biches.

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De plus en plus moche, les filles s'immolaient au kérosène quand il passait l'aspirateur tout nu en face du supermarché. Certes il essayait de ne pas choquer les mamies bleus qui mangeaient des cacahuètes rancies, cependant John aimait les regarder s'étouffer quand elles s'amusaient en sautant par dessus les poubelles jaunes et bariolées qui explosent dans les ruelles pavées de bœuf mariné. Soudain, un daim surgit d'une mobylette 103 SP de Onizouka ! Un professeur belge sur une allemande de Munich chantaient un hymne de Russie a l'envers avec John.

Effrayé, traumatisé par ses furoncles jaunâtre , il commença à crier pour se détendre. Il alla faire le tour de France en vélo cul-nu : la police d'écriture Webdings fit en sorte de modifier sa selle, véritable calvaire car ses genoux touchaient le guidon.

Depuis tout petit, il était amoureux d'un monstre mais elle pourrissait sa vie : elle lui brulait les orteils, les mains et la langue pour voir sa réaction de gamin et surtout le faire pleurer. Alors un jour, ou peut-être un an, il décida de corriger les fautes de son dernier amour d'été. Une étrange lueur rosâtre turquoise aveuglait sa mère. Toute la ville sombrait dans les ténèbres depuis que le tsar s'était rendu secrètement chez EDF pour y recharger sa bourse vide.

Wall-street, une rue pavée et peu connue car wall-street n'est que perversion et souffrance, contrairement à Nantes-la-moche, une ville prospère youp-la-boom, se faisait refaire sa place trouée par John Connor lors de la Saint Patrick de 2010. Effectivement, une aussi belle ville demande que John s'occupe des toilettes sinon, elle pourrait sentir des pieds et peu des fesses.

Tout Nantes était breton. Sauf, le quartier de la coquillette qui, lui, était normand. Un petit pas pour l'Homme, mais une perte pour l'anticonstitutionnelle révolution. Tout les suricates perdent instantanément au Black Jack, s'attaquant au croupion le plus proche. Ils lui arrachent la tête pour la retourner à l'expéditeur à grand coups de langue toute baveuse et pleine de pustules vert-caca d'oie. Seulement, une fille au physique parfait avec des yeux vert émeraude, elle regardait ses fesses fermes et sensuelles tandis que John bavait devant une vieille. Cette ancienne rivière entre deux montagne lugubre et sombre l'excitait au plus fort de sa personnalité héroïque peu encourageante. il décida de prendre son épée pour abattre du bois et faire une clôture de sécurité anti-biches.

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De plus en plus moche, les filles s'immolaient au kérosène quand il passait l'aspirateur tout nu en face du supermarché. Certes il essayait de ne pas choquer les mamies bleus qui mangeaient des cacahuètes rancies, cependant John aimait les regarder s'étouffer quand elles s'amusaient en sautant par dessus les poubelles jaunes et bariolées qui explosent dans les ruelles pavées de bœuf mariné. Soudain, un daim surgit d'une mobylette 103 SP de Onizouka ! Un professeur belge sur une allemande de Munich chantaient un hymne de Russie a l'envers avec John.

Effrayé, traumatisé par ses furoncles jaunâtre , il commença à crier pour se détendre. Il alla faire le tour de France en vélo cul-nu : la police d'écriture Webdings fit en sorte de modifier sa selle, véritable calvaire car ses genoux touchaient le guidon.

Depuis tout petit, il était amoureux d'un monstre mais elle pourrissait sa vie : elle lui brulait les orteils, les mains et la langue pour voir sa réaction de gamin et surtout le faire pleurer. Alors un jour, ou peut-être un an, il décida de corriger les fautes de son dernier amour d'été. Une étrange lueur rosâtre turquoise aveuglait sa mère. Toute la ville sombrait dans les ténèbres depuis que le tsar s'était rendu secrètement chez EDF pour y recharger sa bourse vide.

Wall-street, une rue pavée et peu connue car wall-street n'est que perversion et souffrance, contrairement à Nantes-la-moche, une ville prospère youp-la-boom, se faisait refaire sa place trouée par John Connor lors de la Saint Patrick de 2010. Effectivement, une aussi belle ville demande que John s'occupe des toilettes sinon, elle pourrait sentir des pieds et peu des fesses.

Tout Nantes était breton. Sauf, le quartier de la coquillette qui, lui, était normand. Un petit pas pour l'Homme, mais une perte pour l'anticonstitutionnelle révolution. Tout les suricates perdent instantanément au Black Jack, s'attaquant au croupion le plus proche. Ils lui arrachent la tête pour la retourner à l'expéditeur à grand coups de langue toute baveuse et pleine de pustules vert-caca d'oie. Seulement, une fille au physique parfait avec des yeux vert émeraude, elle regardait ses fesses fermes et sensuelles tandis que John bavait devant une vieille. Cette ancienne rivière entre deux montagne lugubre et sombre l'excitait au plus fort de sa personnalité héroïque peu encourageante. il décida de prendre son épée pour abattre du bois et faire une clôture de sécurité anti-biches.

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