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 Histoire sans fin ...

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Sobek_
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MessageSujet: Re: Histoire sans fin ...   Histoire sans fin ... - Page 11 EmptyMer 28 Avr - 21:56

à vrai dire, je disais juste ça pour te taquiner Simba Wink

C'était l'histoire de John, un jeune homme de 17 ans environ. John Connor était quelqu'un de mauvais et malheureux : ses pieds puants et sa calvitie naissante faisaient de lui quelqu'un de très solitaire.

De plus en plus moche, les filles s'immolaient au kérosène quand il passait l'aspirateur tout nu en face du supermarché. Certes il essayait de ne pas choquer les mamies bleus qui mangeaient des cacahuètes rancies, cependant John aimait les regarder s'étouffer quand elles s'amusaient en sautant par dessus les poubelles jaunes et bariolées qui explosent dans les ruelles pavées de bœuf mariné. Soudain, un daim surgit d'une mobylette 103 SP de Onizouka ! Un professeur belge sur une allemande de Munich chantaient un hymne de Russie a l'envers avec John.

Effrayé, traumatisé par ses furoncles jaunâtre , il commença à crier pour se détendre. Il alla faire le tour de France en vélo cul-nu : la police d'écriture Webdings fit en sorte de modifier sa selle, véritable calvaire car ses genoux touchaient le guidon.

Depuis tout petit, il têtait amoureux d'un monstre mais elle pourrissait sa vie : elle lui brulait les orteils, les mains et la langue pour voir sa réaction de gamin et surtout le faire pleurer. Alors un jour, ou peut-être un an, il décida de corriger les fautes de son dernier amour d'été. Une étrange lueur rosâtre turquoise aveuglait sa mère. Toute la ville sombrait dans les ténèbres depuis que le tsar s'était rendu secrètement chez EDF pour y recharger sa bourse vide.

Wall-street, une rue pavée et peu connue car wall-street n'est que perversion et soufrance, contrairement à Nantes-la-moche, une ville prospère youp-la-boom, se faisait refaire sa place trouée par John Connor lors de la Saint Patrick de 2010. Effectivement, une aussi belle ville demande que john s'occupe des toilettes sinon, elle pourrait sentir des pieds et peu des fesses.

Tout Nantes était breton. Sauf, le quartier de la coquillette qui lui était normand. Un petit pas pour l'Homme, mais une perte pour l'anticonstitutionnelle révolution. Tout les suricates perdent instantanément au Black Jack, s'attaquant au croupion le plus proche. Ils lui arrachent la tête pour la retourner à l'expéditeur
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kensaku
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kensaku


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MessageSujet: Re: Histoire sans fin ...   Histoire sans fin ... - Page 11 EmptyJeu 29 Avr - 7:25

C'était l'histoire de John, un jeune homme de 17 ans environ. John Connor était quelqu'un de mauvais et malheureux : ses pieds puants et sa calvitie naissante faisaient de lui quelqu'un de très solitaire.

De plus en plus moche, les filles s'immolaient au kérosène quand il passait l'aspirateur tout nu en face du supermarché. Certes il essayait de ne pas choquer les mamies bleus qui mangeaient des cacahuètes rancies, cependant John aimait les regarder s'étouffer quand elles s'amusaient en sautant par dessus les poubelles jaunes et bariolées qui explosent dans les ruelles pavées de bœuf mariné. Soudain, un daim surgit d'une mobylette 103 SP de Onizouka ! Un professeur belge sur une allemande de Munich chantaient un hymne de Russie a l'envers avec John.

Effrayé, traumatisé par ses furoncles jaunâtre , il commença à crier pour se détendre. Il alla faire le tour de France en vélo cul-nu : la police d'écriture Webdings fit en sorte de modifier sa selle, véritable calvaire car ses genoux touchaient le guidon.

Depuis tout petit, il têtait amoureux d'un monstre mais elle pourrissait sa vie : elle lui brulait les orteils, les mains et la langue pour voir sa réaction de gamin et surtout le faire pleurer. Alors un jour, ou peut-être un an, il décida de corriger les fautes de son dernier amour d'été. Une étrange lueur rosâtre turquoise aveuglait sa mère. Toute la ville sombrait dans les ténèbres depuis que le tsar s'était rendu secrètement chez EDF pour y recharger sa bourse vide.

Wall-street, une rue pavée et peu connue car wall-street n'est que perversion et soufrance, contrairement à Nantes-la-moche, une ville prospère youp-la-boom, se faisait refaire sa place trouée par John Connor lors de la Saint Patrick de 2010. Effectivement, une aussi belle ville demande que john s'occupe des toilettes sinon, elle pourrait sentir des pieds et peu des fesses.

Tout Nantes était breton. Sauf, le quartier de la coquillette qui lui était normand. Un petit pas pour l'Homme, mais une perte pour l'anticonstitutionnelle révolution. Tout les suricates perdent instantanément au Black Jack, s'attaquant au croupion le plus proche. Ils lui arrachent la tête pour la retourner à l'expéditeur à grand
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MessageSujet: Re: Histoire sans fin ...   Histoire sans fin ... - Page 11 EmptyJeu 29 Avr - 8:37

C'était l'histoire de John, un jeune homme de 17 ans environ. John Connor était quelqu'un de mauvais et malheureux : ses pieds puants et sa calvitie naissante faisaient de lui quelqu'un de très solitaire.

De plus en plus moche, les filles s'immolaient au kérosène quand il passait l'aspirateur tout nu en face du supermarché. Certes il essayait de ne pas choquer les mamies bleus qui mangeaient des cacahuètes rancies, cependant John aimait les regarder s'étouffer quand elles s'amusaient en sautant par dessus les poubelles jaunes et bariolées qui explosent dans les ruelles pavées de bœuf mariné. Soudain, un daim surgit d'une mobylette 103 SP de Onizouka ! Un professeur belge sur une allemande de Munich chantaient un hymne de Russie a l'envers avec John.

Effrayé, traumatisé par ses furoncles jaunâtre , il commença à crier pour se détendre. Il alla faire le tour de France en vélo cul-nu : la police d'écriture Webdings fit en sorte de modifier sa selle, véritable calvaire car ses genoux touchaient le guidon.

Depuis tout petit, il têtait amoureux d'un monstre mais elle pourrissait sa vie : elle lui brulait les orteils, les mains et la langue pour voir sa réaction de gamin et surtout le faire pleurer. Alors un jour, ou peut-être un an, il décida de corriger les fautes de son dernier amour d'été. Une étrange lueur rosâtre turquoise aveuglait sa mère. Toute la ville sombrait dans les ténèbres depuis que le tsar s'était rendu secrètement chez EDF pour y recharger sa bourse vide.

Wall-street, une rue pavée et peu connue car wall-street n'est que perversion et soufrance, contrairement à Nantes-la-moche, une ville prospère youp-la-boom, se faisait refaire sa place trouée par John Connor lors de la Saint Patrick de 2010. Effectivement, une aussi belle ville demande que john s'occupe des toilettes sinon, elle pourrait sentir des pieds et peu des fesses.

Tout Nantes était breton. Sauf, le quartier de la coquillette qui lui était normand. Un petit pas pour l'Homme, mais une perte pour l'anticonstitutionnelle révolution. Tout les suricates perdent instantanément au Black Jack, s'attaquant au croupion le plus proche. Ils lui arrachent la tête pour la retourner à l'expéditeur à grand coups
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MessageSujet: Re: Histoire sans fin ...   Histoire sans fin ... - Page 11 EmptyJeu 29 Avr - 14:22

C'était l'histoire de John, un jeune homme de 17 ans environ. John Connor était quelqu'un de mauvais et malheureux : ses pieds puants et sa calvitie naissante faisaient de lui quelqu'un de très solitaire.

De plus en plus moche, les filles s'immolaient au kérosène quand il passait l'aspirateur tout nu en face du supermarché. Certes il essayait de ne pas choquer les mamies bleus qui mangeaient des cacahuètes rancies, cependant John aimait les regarder s'étouffer quand elles s'amusaient en sautant par dessus les poubelles jaunes et bariolées qui explosent dans les ruelles pavées de bœuf mariné. Soudain, un daim surgit d'une mobylette 103 SP de Onizouka ! Un professeur belge sur une allemande de Munich chantaient un hymne de Russie a l'envers avec John.

Effrayé, traumatisé par ses furoncles jaunâtre , il commença à crier pour se détendre. Il alla faire le tour de France en vélo cul-nu : la police d'écriture Webdings fit en sorte de modifier sa selle, véritable calvaire car ses genoux touchaient le guidon.

Depuis tout petit, il têtait amoureux d'un monstre mais elle pourrissait sa vie : elle lui brulait les orteils, les mains et la langue pour voir sa réaction de gamin et surtout le faire pleurer. Alors un jour, ou peut-être un an, il décida de corriger les fautes de son dernier amour d'été. Une étrange lueur rosâtre turquoise aveuglait sa mère. Toute la ville sombrait dans les ténèbres depuis que le tsar s'était rendu secrètement chez EDF pour y recharger sa bourse vide.

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MessageSujet: Re: Histoire sans fin ...   Histoire sans fin ... - Page 11 EmptyJeu 29 Avr - 16:08

C'était l'histoire de John, un jeune homme de 17 ans environ. John Connor était quelqu'un de mauvais et malheureux : ses pieds puants et sa calvitie naissante faisaient de lui quelqu'un de très solitaire.

De plus en plus moche, les filles s'immolaient au kérosène quand il passait l'aspirateur tout nu en face du supermarché. Certes il essayait de ne pas choquer les mamies bleus qui mangeaient des cacahuètes rancies, cependant John aimait les regarder s'étouffer quand elles s'amusaient en sautant par dessus les poubelles jaunes et bariolées qui explosent dans les ruelles pavées de bœuf mariné. Soudain, un daim surgit d'une mobylette 103 SP de Onizouka ! Un professeur belge sur une allemande de Munich chantaient un hymne de Russie a l'envers avec John.

Effrayé, traumatisé par ses furoncles jaunâtre , il commença à crier pour se détendre. Il alla faire le tour de France en vélo cul-nu : la police d'écriture Webdings fit en sorte de modifier sa selle, véritable calvaire car ses genoux touchaient le guidon.

Depuis tout petit, il têtait amoureux d'un monstre mais elle pourrissait sa vie : elle lui brulait les orteils, les mains et la langue pour voir sa réaction de gamin et surtout le faire pleurer. Alors un jour, ou peut-être un an, il décida de corriger les fautes de son dernier amour d'été. Une étrange lueur rosâtre turquoise aveuglait sa mère. Toute la ville sombrait dans les ténèbres depuis que le tsar s'était rendu secrètement chez EDF pour y recharger sa bourse vide.

Wall-street, une rue pavée et peu connue car wall-street n'est que perversion et soufrance, contrairement à Nantes-la-moche, une ville prospère youp-la-boom, se faisait refaire sa place trouée par John Connor lors de la Saint Patrick de 2010. Effectivement, une aussi belle ville demande que john s'occupe des toilettes sinon, elle pourrait sentir des pieds et peu des fesses.

Tout Nantes était breton. Sauf, le quartier de la coquillette qui lui était normand. Un petit pas pour l'Homme, mais une perte pour l'anticonstitutionnelle révolution. Tout les suricates perdent instantanément au Black Jack, s'attaquant au croupion le plus proche. Ils lui arrachent la tête pour la retourner à l'expéditeur à grand coups de langue toute
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MessageSujet: Re: Histoire sans fin ...   Histoire sans fin ... - Page 11 EmptySam 1 Mai - 18:15

C'était l'histoire de John, un jeune homme de 17 ans environ. John Connor était quelqu'un de mauvais et malheureux : ses pieds puants et sa calvitie naissante faisaient de lui quelqu'un de très solitaire.

De plus en plus moche, les filles s'immolaient au kérosène quand il passait l'aspirateur tout nu en face du supermarché. Certes il essayait de ne pas choquer les mamies bleus qui mangeaient des cacahuètes rancies, cependant John aimait les regarder s'étouffer quand elles s'amusaient en sautant par dessus les poubelles jaunes et bariolées qui explosent dans les ruelles pavées de bœuf mariné. Soudain, un daim surgit d'une mobylette 103 SP de Onizouka ! Un professeur belge sur une allemande de Munich chantaient un hymne de Russie a l'envers avec John.

Effrayé, traumatisé par ses furoncles jaunâtre , il commença à crier pour se détendre. Il alla faire le tour de France en vélo cul-nu : la police d'écriture Webdings fit en sorte de modifier sa selle, véritable calvaire car ses genoux touchaient le guidon.

Depuis tout petit, il têtait amoureux d'un monstre mais elle pourrissait sa vie : elle lui brulait les orteils, les mains et la langue pour voir sa réaction de gamin et surtout le faire pleurer. Alors un jour, ou peut-être un an, il décida de corriger les fautes de son dernier amour d'été. Une étrange lueur rosâtre turquoise aveuglait sa mère. Toute la ville sombrait dans les ténèbres depuis que le tsar s'était rendu secrètement chez EDF pour y recharger sa bourse vide.

Wall-street, une rue pavée et peu connue car wall-street n'est que perversion et soufrance, contrairement à Nantes-la-moche, une ville prospère youp-la-boom, se faisait refaire sa place trouée par John Connor lors de la Saint Patrick de 2010. Effectivement, une aussi belle ville demande que john s'occupe des toilettes sinon, elle pourrait sentir des pieds et peu des fesses.

Tout Nantes était breton. Sauf, le quartier de la coquillette qui lui était normand. Un petit pas pour l'Homme, mais une perte pour l'anticonstitutionnelle révolution. Tout les suricates perdent instantanément au Black Jack, s'attaquant au croupion le plus proche. Ils lui arrachent la tête pour la retourner à l'expéditeur à grand coups de langue toute baveuse
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MessageSujet: Re: Histoire sans fin ...   Histoire sans fin ... - Page 11 EmptySam 1 Mai - 18:18

C'était l'histoire de John, un jeune homme de 17 ans environ. John Connor était quelqu'un de mauvais et malheureux : ses pieds puants et sa calvitie naissante faisaient de lui quelqu'un de très solitaire.

De plus en plus moche, les filles s'immolaient au kérosène quand il passait l'aspirateur tout nu en face du supermarché. Certes il essayait de ne pas choquer les mamies bleus qui mangeaient des cacahuètes rancies, cependant John aimait les regarder s'étouffer quand elles s'amusaient en sautant par dessus les poubelles jaunes et bariolées qui explosent dans les ruelles pavées de bœuf mariné. Soudain, un daim surgit d'une mobylette 103 SP de Onizouka ! Un professeur belge sur une allemande de Munich chantaient un hymne de Russie a l'envers avec John.

Effrayé, traumatisé par ses furoncles jaunâtre , il commença à crier pour se détendre. Il alla faire le tour de France en vélo cul-nu : la police d'écriture Webdings fit en sorte de modifier sa selle, véritable calvaire car ses genoux touchaient le guidon.

Depuis tout petit, il têtait amoureux d'un monstre mais elle pourrissait sa vie : elle lui brulait les orteils, les mains et la langue pour voir sa réaction de gamin et surtout le faire pleurer. Alors un jour, ou peut-être un an, il décida de corriger les fautes de son dernier amour d'été. Une étrange lueur rosâtre turquoise aveuglait sa mère. Toute la ville sombrait dans les ténèbres depuis que le tsar s'était rendu secrètement chez EDF pour y recharger sa bourse vide.

Wall-street, une rue pavée et peu connue car wall-street n'est que perversion et soufrance, contrairement à Nantes-la-moche, une ville prospère youp-la-boom, se faisait refaire sa place trouée par John Connor lors de la Saint Patrick de 2010. Effectivement, une aussi belle ville demande que john s'occupe des toilettes sinon, elle pourrait sentir des pieds et peu des fesses.

Tout Nantes était breton. Sauf, le quartier de la coquillette qui lui était normand. Un petit pas pour l'Homme, mais une perte pour l'anticonstitutionnelle révolution. Tout les suricates perdent instantanément au Black Jack, s'attaquant au croupion le plus proche. Ils lui arrachent la tête pour la retourner à l'expéditeur à grand coups de langue toute baveuse et pleine
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MessageSujet: Re: Histoire sans fin ...   Histoire sans fin ... - Page 11 EmptySam 1 Mai - 19:27

C'était l'histoire de John, un jeune homme de 17 ans environ. John Connor était quelqu'un de mauvais et malheureux : ses pieds puants et sa calvitie naissante faisaient de lui quelqu'un de très solitaire.

De plus en plus moche, les filles s'immolaient au kérosène quand il passait l'aspirateur tout nu en face du supermarché. Certes il essayait de ne pas choquer les mamies bleus qui mangeaient des cacahuètes rancies, cependant John aimait les regarder s'étouffer quand elles s'amusaient en sautant par dessus les poubelles jaunes et bariolées qui explosent dans les ruelles pavées de bœuf mariné. Soudain, un daim surgit d'une mobylette 103 SP de Onizouka ! Un professeur belge sur une allemande de Munich chantaient un hymne de Russie a l'envers avec John.

Effrayé, traumatisé par ses furoncles jaunâtre , il commença à crier pour se détendre. Il alla faire le tour de France en vélo cul-nu : la police d'écriture Webdings fit en sorte de modifier sa selle, véritable calvaire car ses genoux touchaient le guidon.

Depuis tout petit, il têtait amoureux d'un monstre mais elle pourrissait sa vie : elle lui brulait les orteils, les mains et la langue pour voir sa réaction de gamin et surtout le faire pleurer. Alors un jour, ou peut-être un an, il décida de corriger les fautes de son dernier amour d'été. Une étrange lueur rosâtre turquoise aveuglait sa mère. Toute la ville sombrait dans les ténèbres depuis que le tsar s'était rendu secrètement chez EDF pour y recharger sa bourse vide.

Wall-street, une rue pavée et peu connue car wall-street n'est que perversion et soufrance, contrairement à Nantes-la-moche, une ville prospère youp-la-boom, se faisait refaire sa place trouée par John Connor lors de la Saint Patrick de 2010. Effectivement, une aussi belle ville demande que john s'occupe des toilettes sinon, elle pourrait sentir des pieds et peu des fesses.

Tout Nantes était breton. Sauf, le quartier de la coquillette qui lui était normand. Un petit pas pour l'Homme, mais une perte pour l'anticonstitutionnelle révolution. Tout les suricates perdent instantanément au Black Jack, s'attaquant au croupion le plus proche. Ils lui arrachent la tête pour la retourner à l'expéditeur à grand coups de langue toute baveuse et pleine de
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MessageSujet: Re: Histoire sans fin ...   Histoire sans fin ... - Page 11 EmptySam 1 Mai - 22:21

C'était l'histoire de John, un jeune homme de 17 ans environ. John Connor était quelqu'un de mauvais et malheureux : ses pieds puants et sa calvitie naissante faisaient de lui quelqu'un de très solitaire.

De plus en plus moche, les filles s'immolaient au kérosène quand il passait l'aspirateur tout nu en face du supermarché. Certes il essayait de ne pas choquer les mamies bleus qui mangeaient des cacahuètes rancies, cependant John aimait les regarder s'étouffer quand elles s'amusaient en sautant par dessus les poubelles jaunes et bariolées qui explosent dans les ruelles pavées de bœuf mariné. Soudain, un daim surgit d'une mobylette 103 SP de Onizouka ! Un professeur belge sur une allemande de Munich chantaient un hymne de Russie a l'envers avec John.

Effrayé, traumatisé par ses furoncles jaunâtre , il commença à crier pour se détendre. Il alla faire le tour de France en vélo cul-nu : la police d'écriture Webdings fit en sorte de modifier sa selle, véritable calvaire car ses genoux touchaient le guidon.

Depuis tout petit, il têtait amoureux d'un monstre mais elle pourrissait sa vie : elle lui brulait les orteils, les mains et la langue pour voir sa réaction de gamin et surtout le faire pleurer. Alors un jour, ou peut-être un an, il décida de corriger les fautes de son dernier amour d'été. Une étrange lueur rosâtre turquoise aveuglait sa mère. Toute la ville sombrait dans les ténèbres depuis que le tsar s'était rendu secrètement chez EDF pour y recharger sa bourse vide.

Wall-street, une rue pavée et peu connue car wall-street n'est que perversion et soufrance, contrairement à Nantes-la-moche, une ville prospère youp-la-boom, se faisait refaire sa place trouée par John Connor lors de la Saint Patrick de 2010. Effectivement, une aussi belle ville demande que john s'occupe des toilettes sinon, elle pourrait sentir des pieds et peu des fesses.

Tout Nantes était breton. Sauf, le quartier de la coquillette qui lui était normand. Un petit pas pour l'Homme, mais une perte pour l'anticonstitutionnelle révolution. Tout les suricates perdent instantanément au Black Jack, s'attaquant au croupion le plus proche. Ils lui arrachent la tête pour la retourner à l'expéditeur à grand coups de langue toute baveuse et pleine de pustules
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MessageSujet: Re: Histoire sans fin ...   Histoire sans fin ... - Page 11 EmptyDim 2 Mai - 8:13

C'était l'histoire de John, un jeune homme de 17 ans environ. John Connor était quelqu'un de mauvais et malheureux : ses pieds puants et sa calvitie naissante faisaient de lui quelqu'un de très solitaire.

De plus en plus moche, les filles s'immolaient au kérosène quand il passait l'aspirateur tout nu en face du supermarché. Certes il essayait de ne pas choquer les mamies bleus qui mangeaient des cacahuètes rancies, cependant John aimait les regarder s'étouffer quand elles s'amusaient en sautant par dessus les poubelles jaunes et bariolées qui explosent dans les ruelles pavées de bœuf mariné. Soudain, un daim surgit d'une mobylette 103 SP de Onizouka ! Un professeur belge sur une allemande de Munich chantaient un hymne de Russie a l'envers avec John.

Effrayé, traumatisé par ses furoncles jaunâtre , il commença à crier pour se détendre. Il alla faire le tour de France en vélo cul-nu : la police d'écriture Webdings fit en sorte de modifier sa selle, véritable calvaire car ses genoux touchaient le guidon.

Depuis tout petit, il têtait amoureux d'un monstre mais elle pourrissait sa vie : elle lui brulait les orteils, les mains et la langue pour voir sa réaction de gamin et surtout le faire pleurer. Alors un jour, ou peut-être un an, il décida de corriger les fautes de son dernier amour d'été. Une étrange lueur rosâtre turquoise aveuglait sa mère. Toute la ville sombrait dans les ténèbres depuis que le tsar s'était rendu secrètement chez EDF pour y recharger sa bourse vide.

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MessageSujet: Re: Histoire sans fin ...   Histoire sans fin ... - Page 11 EmptyDim 2 Mai - 9:28

C'était l'histoire de John, un jeune homme de 17 ans environ. John Connor était quelqu'un de mauvais et malheureux : ses pieds puants et sa calvitie naissante faisaient de lui quelqu'un de très solitaire.

De plus en plus moche, les filles s'immolaient au kérosène quand il passait l'aspirateur tout nu en face du supermarché. Certes il essayait de ne pas choquer les mamies bleus qui mangeaient des cacahuètes rancies, cependant John aimait les regarder s'étouffer quand elles s'amusaient en sautant par dessus les poubelles jaunes et bariolées qui explosent dans les ruelles pavées de bœuf mariné. Soudain, un daim surgit d'une mobylette 103 SP de Onizouka ! Un professeur belge sur une allemande de Munich chantaient un hymne de Russie a l'envers avec John.

Effrayé, traumatisé par ses furoncles jaunâtre , il commença à crier pour se détendre. Il alla faire le tour de France en vélo cul-nu : la police d'écriture Webdings fit en sorte de modifier sa selle, véritable calvaire car ses genoux touchaient le guidon.

Depuis tout petit, il têtait amoureux d'un monstre mais elle pourrissait sa vie : elle lui brulait les orteils, les mains et la langue pour voir sa réaction de gamin et surtout le faire pleurer. Alors un jour, ou peut-être un an, il décida de corriger les fautes de son dernier amour d'été. Une étrange lueur rosâtre turquoise aveuglait sa mère. Toute la ville sombrait dans les ténèbres depuis que le tsar s'était rendu secrètement chez EDF pour y recharger sa bourse vide.

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MessageSujet: Re: Histoire sans fin ...   Histoire sans fin ... - Page 11 EmptyDim 2 Mai - 10:42

ne pas choquer les mamies bleus qui mangeaient des cacahuètes rancies, cependant John aimait les regarder s'étouffer quand elles s'amusaient en sautant par dessus les poubelles jaunes et bariolées qui explosent dans les ruelles pavées de bœuf mariné. Soudain, un daim surgit d'une mobylette 103 SP de Onizouka ! Un professeur belge sur une allemande de Munich chantaient un hymne de Russie a l'envers avec John.

Effrayé, traumatisé par ses furoncles jaunâtre , il commença à crier pour se détendre. Il alla faire le tour de France en vélo cul-nu : la police d'écriture Webdings fit en sorte de modifier sa selle, véritable calvaire car ses genoux touchaient le guidon.

Depuis tout petit, il têtait amoureux d'un monstre mais elle pourrissait sa vie : elle lui brulait les orteils, les mains et la langue pour voir sa réaction de gamin et surtout le faire pleurer. Alors un jour, ou peut-être un an, il décida de corriger les fautes de son dernier amour d'été. Une étrange lueur rosâtre turquoise aveuglait sa mère. Toute la ville sombrait dans les ténèbres depuis que le tsar s'était rendu secrètement chez EDF pour y recharger sa bourse vide.

Wall-street, une rue pavée et peu connue car wall-street n'est que perversion et soufrance, contrairement à Nantes-la-moche, une ville prospère youp-la-boom, se faisait refaire sa place trouée par John Connor lors de la Saint Patrick de 2010. Effectivement, une aussi belle ville demande que john s'occupe des toilettes sinon, elle pourrait sentir des pieds et peu des fesses.

Tout Nantes était breton. Sauf, le quartier de la coquillette qui lui était normand. Un petit pas pour l'Homme, mais une perte pour l'anticonstitutionnelle révolution. Tout les suricates perdent instantanément au Black Jack, s'attaquant au croupion le plus proche. Ils lui arrachent la tête pour la retourner à l'expéditeur à grand coups de langue toute baveuse et pleine de pustules vert-caca d'oie
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MessageSujet: Re: Histoire sans fin ...   Histoire sans fin ... - Page 11 EmptyDim 2 Mai - 11:14

C'était l'histoire de John, un jeune homme de 17 ans environ. John Connor était quelqu'un de mauvais et malheureux : ses pieds puants et sa calvitie naissante faisaient de lui quelqu'un de très solitaire.

De plus en plus moche, les filles s'immolaient au kérosène quand il passait l'aspirateur tout nu en face du supermarché. Certes il essayait de ne pas choquer les mamies bleus qui mangeaient des cacahuètes rancies, cependant John aimait les regarder s'étouffer quand elles s'amusaient en sautant par dessus les poubelles jaunes et bariolées qui explosent dans les ruelles pavées de bœuf mariné. Soudain, un daim surgit d'une mobylette 103 SP de Onizouka ! Un professeur belge sur une allemande de Munich chantaient un hymne de Russie a l'envers avec John.

Effrayé, traumatisé par ses furoncles jaunâtre , il commença à crier pour se détendre. Il alla faire le tour de France en vélo cul-nu : la police d'écriture Webdings fit en sorte de modifier sa selle, véritable calvaire car ses genoux touchaient le guidon.

Depuis tout petit, il têtait amoureux d'un monstre mais elle pourrissait sa vie : elle lui brulait les orteils, les mains et la langue pour voir sa réaction de gamin et surtout le faire pleurer. Alors un jour, ou peut-être un an, il décida de corriger les fautes de son dernier amour d'été. Une étrange lueur rosâtre turquoise aveuglait sa mère. Toute la ville sombrait dans les ténèbres depuis que le tsar s'était rendu secrètement chez EDF pour y recharger sa bourse vide.

Wall-street, une rue pavée et peu connue car wall-street n'est que perversion et soufrance, contrairement à Nantes-la-moche, une ville prospère youp-la-boom, se faisait refaire sa place trouée par John Connor lors de la Saint Patrick de 2010. Effectivement, une aussi belle ville demande que john s'occupe des toilettes sinon, elle pourrait sentir des pieds et peu des fesses.

Tout Nantes était breton. Sauf, le quartier de la coquillette qui lui était normand. Un petit pas pour l'Homme, mais une perte pour l'anticonstitutionnelle révolution. Tout les suricates perdent instantanément au Black Jack, s'attaquant au croupion le plus proche. Ils lui arrachent la tête pour la retourner à l'expéditeur à grand coups de langue toute baveuse et pleine de pustules vert-caca d'oie. Seulement,
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C'était l'histoire de John, un jeune homme de 17 ans environ. John Connor était quelqu'un de mauvais et malheureux : ses pieds puants et sa calvitie naissante faisaient de lui quelqu'un de très solitaire.

De plus en plus moche, les filles s'immolaient au kérosène quand il passait l'aspirateur tout nu en face du supermarché. Certes il essayait de ne pas choquer les mamies bleus qui mangeaient des cacahuètes rancies, cependant John aimait les regarder s'étouffer quand elles s'amusaient en sautant par dessus les poubelles jaunes et bariolées qui explosent dans les ruelles pavées de bœuf mariné. Soudain, un daim surgit d'une mobylette 103 SP de Onizouka ! Un professeur belge sur une allemande de Munich chantaient un hymne de Russie a l'envers avec John.

Effrayé, traumatisé par ses furoncles jaunâtre , il commença à crier pour se détendre. Il alla faire le tour de France en vélo cul-nu : la police d'écriture Webdings fit en sorte de modifier sa selle, véritable calvaire car ses genoux touchaient le guidon.

Depuis tout petit, il têtait amoureux d'un monstre mais elle pourrissait sa vie : elle lui brulait les orteils, les mains et la langue pour voir sa réaction de gamin et surtout le faire pleurer. Alors un jour, ou peut-être un an, il décida de corriger les fautes de son dernier amour d'été. Une étrange lueur rosâtre turquoise aveuglait sa mère. Toute la ville sombrait dans les ténèbres depuis que le tsar s'était rendu secrètement chez EDF pour y recharger sa bourse vide.

Wall-street, une rue pavée et peu connue car wall-street n'est que perversion et soufrance, contrairement à Nantes-la-moche, une ville prospère youp-la-boom, se faisait refaire sa place trouée par John Connor lors de la Saint Patrick de 2010. Effectivement, une aussi belle ville demande que john s'occupe des toilettes sinon, elle pourrait sentir des pieds et peu des fesses.

Tout Nantes était breton. Sauf, le quartier de la coquillette qui lui était normand. Un petit pas pour l'Homme, mais une perte pour l'anticonstitutionnelle révolution. Tout les suricates perdent instantanément au Black Jack, s'attaquant au croupion le plus proche. Ils lui arrachent la tête pour la retourner à l'expéditeur à grand coups de langue toute baveuse et pleine de pustules vert-caca d'oie. Seulement, une fille
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MessageSujet: Re: Histoire sans fin ...   Histoire sans fin ... - Page 11 EmptyDim 2 Mai - 12:16

C'était l'histoire de John, un jeune homme de 17 ans environ. John Connor était quelqu'un de mauvais et malheureux : ses pieds puants et sa calvitie naissante faisaient de lui quelqu'un de très solitaire.

De plus en plus moche, les filles s'immolaient au kérosène quand il passait l'aspirateur tout nu en face du supermarché. Certes il essayait de ne pas choquer les mamies bleus qui mangeaient des cacahuètes rancies, cependant John aimait les regarder s'étouffer quand elles s'amusaient en sautant par dessus les poubelles jaunes et bariolées qui explosent dans les ruelles pavées de bœuf mariné. Soudain, un daim surgit d'une mobylette 103 SP de Onizouka ! Un professeur belge sur une allemande de Munich chantaient un hymne de Russie a l'envers avec John.

Effrayé, traumatisé par ses furoncles jaunâtre , il commença à crier pour se détendre. Il alla faire le tour de France en vélo cul-nu : la police d'écriture Webdings fit en sorte de modifier sa selle, véritable calvaire car ses genoux touchaient le guidon.

Depuis tout petit, il têtait amoureux d'un monstre mais elle pourrissait sa vie : elle lui brulait les orteils, les mains et la langue pour voir sa réaction de gamin et surtout le faire pleurer. Alors un jour, ou peut-être un an, il décida de corriger les fautes de son dernier amour d'été. Une étrange lueur rosâtre turquoise aveuglait sa mère. Toute la ville sombrait dans les ténèbres depuis que le tsar s'était rendu secrètement chez EDF pour y recharger sa bourse vide.

Wall-street, une rue pavée et peu connue car wall-street n'est que perversion et soufrance, contrairement à Nantes-la-moche, une ville prospère youp-la-boom, se faisait refaire sa place trouée par John Connor lors de la Saint Patrick de 2010. Effectivement, une aussi belle ville demande que john s'occupe des toilettes sinon, elle pourrait sentir des pieds et peu des fesses.

Tout Nantes était breton. Sauf, le quartier de la coquillette qui lui était normand. Un petit pas pour l'Homme, mais une perte pour l'anticonstitutionnelle révolution. Tout les suricates perdent instantanément au Black Jack, s'attaquant au croupion le plus proche. Ils lui arrachent la tête pour la retourner à l'expéditeur à grand coups de langue toute baveuse et pleine de pustules vert-caca d'oie. Seulement, une fille au physique
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MessageSujet: Re: Histoire sans fin ...   Histoire sans fin ... - Page 11 EmptyDim 2 Mai - 12:17

C'était l'histoire de John, un jeune homme de 17 ans environ. John Connor était quelqu'un de mauvais et malheureux : ses pieds puants et sa calvitie naissante faisaient de lui quelqu'un de très solitaire.

De plus en plus moche, les filles s'immolaient au kérosène quand il passait l'aspirateur tout nu en face du supermarché. Certes il essayait de ne pas choquer les mamies bleus qui mangeaient des cacahuètes rancies, cependant John aimait les regarder s'étouffer quand elles s'amusaient en sautant par dessus les poubelles jaunes et bariolées qui explosent dans les ruelles pavées de bœuf mariné. Soudain, un daim surgit d'une mobylette 103 SP de Onizouka ! Un professeur belge sur une allemande de Munich chantaient un hymne de Russie a l'envers avec John.

Effrayé, traumatisé par ses furoncles jaunâtre , il commença à crier pour se détendre. Il alla faire le tour de France en vélo cul-nu : la police d'écriture Webdings fit en sorte de modifier sa selle, véritable calvaire car ses genoux touchaient le guidon.

Depuis tout petit, il têtait amoureux d'un monstre mais elle pourrissait sa vie : elle lui brulait les orteils, les mains et la langue pour voir sa réaction de gamin et surtout le faire pleurer. Alors un jour, ou peut-être un an, il décida de corriger les fautes de son dernier amour d'été. Une étrange lueur rosâtre turquoise aveuglait sa mère. Toute la ville sombrait dans les ténèbres depuis que le tsar s'était rendu secrètement chez EDF pour y recharger sa bourse vide.

Wall-street, une rue pavée et peu connue car wall-street n'est que perversion et soufrance, contrairement à Nantes-la-moche, une ville prospère youp-la-boom, se faisait refaire sa place trouée par John Connor lors de la Saint Patrick de 2010. Effectivement, une aussi belle ville demande que john s'occupe des toilettes sinon, elle pourrait sentir des pieds et peu des fesses.

Tout Nantes était breton. Sauf, le quartier de la coquillette qui lui était normand. Un petit pas pour l'Homme, mais une perte pour l'anticonstitutionnelle révolution. Tout les suricates perdent instantanément au Black Jack, s'attaquant au croupion le plus proche. Ils lui arrachent la tête pour la retourner à l'expéditeur à grand coups de langue toute baveuse et pleine de pustules vert-caca d'oie. Seulement, une fille au physique parfait
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MessageSujet: Re: Histoire sans fin ...   Histoire sans fin ... - Page 11 EmptyMar 4 Mai - 21:35

C'était l'histoire de John, un jeune homme de 17 ans environ. John Connor était quelqu'un de mauvais et malheureux : ses pieds puants et sa calvitie naissante faisaient de lui quelqu'un de très solitaire.

De plus en plus moche, les filles s'immolaient au kérosène quand il passait l'aspirateur tout nu en face du supermarché. Certes il essayait de ne pas choquer les mamies bleus qui mangeaient des cacahuètes rancies, cependant John aimait les regarder s'étouffer quand elles s'amusaient en sautant par dessus les poubelles jaunes et bariolées qui explosent dans les ruelles pavées de bœuf mariné. Soudain, un daim surgit d'une mobylette 103 SP de Onizouka ! Un professeur belge sur une allemande de Munich chantaient un hymne de Russie a l'envers avec John.

Effrayé, traumatisé par ses furoncles jaunâtre , il commença à crier pour se détendre. Il alla faire le tour de France en vélo cul-nu : la police d'écriture Webdings fit en sorte de modifier sa selle, véritable calvaire car ses genoux touchaient le guidon.

Depuis tout petit, il têtait amoureux d'un monstre mais elle pourrissait sa vie : elle lui brulait les orteils, les mains et la langue pour voir sa réaction de gamin et surtout le faire pleurer. Alors un jour, ou peut-être un an, il décida de corriger les fautes de son dernier amour d'été. Une étrange lueur rosâtre turquoise aveuglait sa mère. Toute la ville sombrait dans les ténèbres depuis que le tsar s'était rendu secrètement chez EDF pour y recharger sa bourse vide.

Wall-street, une rue pavée et peu connue car wall-street n'est que perversion et soufrance, contrairement à Nantes-la-moche, une ville prospère youp-la-boom, se faisait refaire sa place trouée par John Connor lors de la Saint Patrick de 2010. Effectivement, une aussi belle ville demande que john s'occupe des toilettes sinon, elle pourrait sentir des pieds et peu des fesses.

Tout Nantes était breton. Sauf, le quartier de la coquillette qui lui était normand. Un petit pas pour l'Homme, mais une perte pour l'anticonstitutionnelle révolution. Tout les suricates perdent instantanément au Black Jack, s'attaquant au croupion le plus proche. Ils lui arrachent la tête pour la retourner à l'expéditeur à grand coups de langue toute baveuse et pleine de pustules vert-caca d'oie. Seulement, une fille au physique parfait avec des
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MessageSujet: Re: Histoire sans fin ...   Histoire sans fin ... - Page 11 EmptyMar 4 Mai - 21:50

C'était l'histoire de John, un jeune homme de 17 ans environ. John Connor était quelqu'un de mauvais et malheureux : ses pieds puants et sa calvitie naissante faisaient de lui quelqu'un de très solitaire.

De plus en plus moche, les filles s'immolaient au kérosène quand il passait l'aspirateur tout nu en face du supermarché. Certes il essayait de ne pas choquer les mamies bleus qui mangeaient des cacahuètes rancies, cependant John aimait les regarder s'étouffer quand elles s'amusaient en sautant par dessus les poubelles jaunes et bariolées qui explosent dans les ruelles pavées de bœuf mariné. Soudain, un daim surgit d'une mobylette 103 SP de Onizouka ! Un professeur belge sur une allemande de Munich chantaient un hymne de Russie a l'envers avec John.

Effrayé, traumatisé par ses furoncles jaunâtre , il commença à crier pour se détendre. Il alla faire le tour de France en vélo cul-nu : la police d'écriture Webdings fit en sorte de modifier sa selle, véritable calvaire car ses genoux touchaient le guidon.

Depuis tout petit, il têtait amoureux d'un monstre mais elle pourrissait sa vie : elle lui brulait les orteils, les mains et la langue pour voir sa réaction de gamin et surtout le faire pleurer. Alors un jour, ou peut-être un an, il décida de corriger les fautes de son dernier amour d'été. Une étrange lueur rosâtre turquoise aveuglait sa mère. Toute la ville sombrait dans les ténèbres depuis que le tsar s'était rendu secrètement chez EDF pour y recharger sa bourse vide.

Wall-street, une rue pavée et peu connue car wall-street n'est que perversion et soufrance, contrairement à Nantes-la-moche, une ville prospère youp-la-boom, se faisait refaire sa place trouée par John Connor lors de la Saint Patrick de 2010. Effectivement, une aussi belle ville demande que john s'occupe des toilettes sinon, elle pourrait sentir des pieds et peu des fesses.

Tout Nantes était breton. Sauf, le quartier de la coquillette qui lui était normand. Un petit pas pour l'Homme, mais une perte pour l'anticonstitutionnelle révolution. Tout les suricates perdent instantanément au Black Jack, s'attaquant au croupion le plus proche. Ils lui arrachent la tête pour la retourner à l'expéditeur à grand coups de langue toute baveuse et pleine de pustules vert-caca d'oie. Seulement, une fille au physique parfait avec des yeux
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MessageSujet: Re: Histoire sans fin ...   Histoire sans fin ... - Page 11 EmptyMer 5 Mai - 17:26

C'était l'histoire de John, un jeune homme de 17 ans environ. John Connor était quelqu'un de mauvais et malheureux : ses pieds puants et sa calvitie naissante faisaient de lui quelqu'un de très solitaire.

De plus en plus moche, les filles s'immolaient au kérosène quand il passait l'aspirateur tout nu en face du supermarché. Certes il essayait de ne pas choquer les mamies bleus qui mangeaient des cacahuètes rancies, cependant John aimait les regarder s'étouffer quand elles s'amusaient en sautant par dessus les poubelles jaunes et bariolées qui explosent dans les ruelles pavées de bœuf mariné. Soudain, un daim surgit d'une mobylette 103 SP de Onizouka ! Un professeur belge sur une allemande de Munich chantaient un hymne de Russie a l'envers avec John.

Effrayé, traumatisé par ses furoncles jaunâtre , il commença à crier pour se détendre. Il alla faire le tour de France en vélo cul-nu : la police d'écriture Webdings fit en sorte de modifier sa selle, véritable calvaire car ses genoux touchaient le guidon.

Depuis tout petit, il têtait amoureux d'un monstre mais elle pourrissait sa vie : elle lui brulait les orteils, les mains et la langue pour voir sa réaction de gamin et surtout le faire pleurer. Alors un jour, ou peut-être un an, il décida de corriger les fautes de son dernier amour d'été. Une étrange lueur rosâtre turquoise aveuglait sa mère. Toute la ville sombrait dans les ténèbres depuis que le tsar s'était rendu secrètement chez EDF pour y recharger sa bourse vide.

Wall-street, une rue pavée et peu connue car wall-street n'est que perversion et soufrance, contrairement à Nantes-la-moche, une ville prospère youp-la-boom, se faisait refaire sa place trouée par John Connor lors de la Saint Patrick de 2010. Effectivement, une aussi belle ville demande que john s'occupe des toilettes sinon, elle pourrait sentir des pieds et peu des fesses.

Tout Nantes était breton. Sauf, le quartier de la coquillette qui lui était normand. Un petit pas pour l'Homme, mais une perte pour l'anticonstitutionnelle révolution. Tout les suricates perdent instantanément au Black Jack, s'attaquant au croupion le plus proche. Ils lui arrachent la tête pour la retourner à l'expéditeur à grand coups de langue toute baveuse et pleine de pustules vert-caca d'oie. Seulement, une fille au physique parfait avec des yeux vert
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MessageSujet: Re: Histoire sans fin ...   Histoire sans fin ... - Page 11 EmptyMer 5 Mai - 17:46

C'était l'histoire de John, un jeune homme de 17 ans environ. John Connor était quelqu'un de mauvais et malheureux : ses pieds puants et sa calvitie naissante faisaient de lui quelqu'un de très solitaire.

De plus en plus moche, les filles s'immolaient au kérosène quand il passait l'aspirateur tout nu en face du supermarché. Certes il essayait de ne pas choquer les mamies bleus qui mangeaient des cacahuètes rancies, cependant John aimait les regarder s'étouffer quand elles s'amusaient en sautant par dessus les poubelles jaunes et bariolées qui explosent dans les ruelles pavées de bœuf mariné. Soudain, un daim surgit d'une mobylette 103 SP de Onizouka ! Un professeur belge sur une allemande de Munich chantaient un hymne de Russie a l'envers avec John.

Effrayé, traumatisé par ses furoncles jaunâtre , il commença à crier pour se détendre. Il alla faire le tour de France en vélo cul-nu : la police d'écriture Webdings fit en sorte de modifier sa selle, véritable calvaire car ses genoux touchaient le guidon.

Depuis tout petit, il têtait amoureux d'un monstre mais elle pourrissait sa vie : elle lui brulait les orteils, les mains et la langue pour voir sa réaction de gamin et surtout le faire pleurer. Alors un jour, ou peut-être un an, il décida de corriger les fautes de son dernier amour d'été. Une étrange lueur rosâtre turquoise aveuglait sa mère. Toute la ville sombrait dans les ténèbres depuis que le tsar s'était rendu secrètement chez EDF pour y recharger sa bourse vide.

Wall-street, une rue pavée et peu connue car wall-street n'est que perversion et soufrance, contrairement à Nantes-la-moche, une ville prospère youp-la-boom, se faisait refaire sa place trouée par John Connor lors de la Saint Patrick de 2010. Effectivement, une aussi belle ville demande que john s'occupe des toilettes sinon, elle pourrait sentir des pieds et peu des fesses.

Tout Nantes était breton. Sauf, le quartier de la coquillette qui lui était normand. Un petit pas pour l'Homme, mais une perte pour l'anticonstitutionnelle révolution. Tout les suricates perdent instantanément au Black Jack, s'attaquant au croupion le plus proche. Ils lui arrachent la tête pour la retourner à l'expéditeur à grand coups de langue toute baveuse et pleine de pustules vert-caca d'oie. Seulement, une fille au physique parfait avec des yeux vert émeraude
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MessageSujet: Re: Histoire sans fin ...   Histoire sans fin ... - Page 11 EmptyMer 5 Mai - 18:19

C'était l'histoire de John, un jeune homme de 17 ans environ. John Connor était quelqu'un de mauvais et malheureux : ses pieds puants et sa calvitie naissante faisaient de lui quelqu'un de très solitaire.

De plus en plus moche, les filles s'immolaient au kérosène quand il passait l'aspirateur tout nu en face du supermarché. Certes il essayait de ne pas choquer les mamies bleus qui mangeaient des cacahuètes rancies, cependant John aimait les regarder s'étouffer quand elles s'amusaient en sautant par dessus les poubelles jaunes et bariolées qui explosent dans les ruelles pavées de bœuf mariné. Soudain, un daim surgit d'une mobylette 103 SP de Onizouka ! Un professeur belge sur une allemande de Munich chantaient un hymne de Russie a l'envers avec John.

Effrayé, traumatisé par ses furoncles jaunâtre , il commença à crier pour se détendre. Il alla faire le tour de France en vélo cul-nu : la police d'écriture Webdings fit en sorte de modifier sa selle, véritable calvaire car ses genoux touchaient le guidon.

Depuis tout petit, il têtait amoureux d'un monstre mais elle pourrissait sa vie : elle lui brulait les orteils, les mains et la langue pour voir sa réaction de gamin et surtout le faire pleurer. Alors un jour, ou peut-être un an, il décida de corriger les fautes de son dernier amour d'été. Une étrange lueur rosâtre turquoise aveuglait sa mère. Toute la ville sombrait dans les ténèbres depuis que le tsar s'était rendu secrètement chez EDF pour y recharger sa bourse vide.

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MessageSujet: Re: Histoire sans fin ...   Histoire sans fin ... - Page 11 EmptyVen 14 Mai - 12:19

C'était l'histoire de John, un jeune homme de 17 ans environ. John Connor était quelqu'un de mauvais et malheureux : ses pieds puants et sa calvitie naissante faisaient de lui quelqu'un de très solitaire.

De plus en plus moche, les filles s'immolaient au kérosène quand il passait l'aspirateur tout nu en face du supermarché. Certes il essayait de ne pas choquer les mamies bleus qui mangeaient des cacahuètes rancies, cependant John aimait les regarder s'étouffer quand elles s'amusaient en sautant par dessus les poubelles jaunes et bariolées qui explosent dans les ruelles pavées de bœuf mariné. Soudain, un daim surgit d'une mobylette 103 SP de Onizouka ! Un professeur belge sur une allemande de Munich chantaient un hymne de Russie a l'envers avec John.

Effrayé, traumatisé par ses furoncles jaunâtre , il commença à crier pour se détendre. Il alla faire le tour de France en vélo cul-nu : la police d'écriture Webdings fit en sorte de modifier sa selle, véritable calvaire car ses genoux touchaient le guidon.

Depuis tout petit, il têtait amoureux d'un monstre mais elle pourrissait sa vie : elle lui brulait les orteils, les mains et la langue pour voir sa réaction de gamin et surtout le faire pleurer. Alors un jour, ou peut-être un an, il décida de corriger les fautes de son dernier amour d'été. Une étrange lueur rosâtre turquoise aveuglait sa mère. Toute la ville sombrait dans les ténèbres depuis que le tsar s'était rendu secrètement chez EDF pour y recharger sa bourse vide.

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Tout Nantes était breton. Sauf, le quartier de la coquillette qui lui était normand. Un petit pas pour l'Homme, mais une perte pour l'anticonstitutionnelle révolution. Tout les suricates perdent instantanément au Black Jack, s'attaquant au croupion le plus proche. Ils lui arrachent la tête pour la retourner à l'expéditeur à grand coups de langue toute baveuse et pleine de pustules vert-caca d'oie. Seulement, une fille au physique parfait avec des yeux vert émeraude, elle regardait
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C'était l'histoire de John, un jeune homme de 17 ans environ. John Connor était quelqu'un de mauvais et malheureux : ses pieds puants et sa calvitie naissante faisaient de lui quelqu'un de très solitaire.

De plus en plus moche, les filles s'immolaient au kérosène quand il passait l'aspirateur tout nu en face du supermarché. Certes il essayait de ne pas choquer les mamies bleus qui mangeaient des cacahuètes rancies, cependant John aimait les regarder s'étouffer quand elles s'amusaient en sautant par dessus les poubelles jaunes et bariolées qui explosent dans les ruelles pavées de bœuf mariné. Soudain, un daim surgit d'une mobylette 103 SP de Onizouka ! Un professeur belge sur une allemande de Munich chantaient un hymne de Russie a l'envers avec John.

Effrayé, traumatisé par ses furoncles jaunâtre , il commença à crier pour se détendre. Il alla faire le tour de France en vélo cul-nu : la police d'écriture Webdings fit en sorte de modifier sa selle, véritable calvaire car ses genoux touchaient le guidon.

Depuis tout petit, il têtait amoureux d'un monstre mais elle pourrissait sa vie : elle lui brulait les orteils, les mains et la langue pour voir sa réaction de gamin et surtout le faire pleurer. Alors un jour, ou peut-être un an, il décida de corriger les fautes de son dernier amour d'été. Une étrange lueur rosâtre turquoise aveuglait sa mère. Toute la ville sombrait dans les ténèbres depuis que le tsar s'était rendu secrètement chez EDF pour y recharger sa bourse vide.

Wall-street, une rue pavée et peu connue car wall-street n'est que perversion et soufrance, contrairement à Nantes-la-moche, une ville prospère youp-la-boom, se faisait refaire sa place trouée par John Connor lors de la Saint Patrick de 2010. Effectivement, une aussi belle ville demande que john s'occupe des toilettes sinon, elle pourrait sentir des pieds et peu des fesses.

Tout Nantes était breton. Sauf, le quartier de la coquillette qui lui était normand. Un petit pas pour l'Homme, mais une perte pour l'anticonstitutionnelle révolution. Tout les suricates perdent instantanément au Black Jack, s'attaquant au croupion le plus proche. Ils lui arrachent la tête pour la retourner à l'expéditeur à grand coups de langue toute baveuse et pleine de pustules vert-caca d'oie. Seulement, une fille au physique parfait avec des yeux vert émeraude, elle regardait ses fesses
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silak
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MessageSujet: Re: Histoire sans fin ...   Histoire sans fin ... - Page 11 EmptyVen 14 Mai - 13:24

C'était l'histoire de John, un jeune homme de 17 ans environ. John Connor était quelqu'un de mauvais et malheureux : ses pieds puants et sa calvitie naissante faisaient de lui quelqu'un de très solitaire.

De plus en plus moche, les filles s'immolaient au kérosène quand il passait l'aspirateur tout nu en face du supermarché. Certes il essayait de ne pas choquer les mamies bleus qui mangeaient des cacahuètes rancies, cependant John aimait les regarder s'étouffer quand elles s'amusaient en sautant par dessus les poubelles jaunes et bariolées qui explosent dans les ruelles pavées de bœuf mariné. Soudain, un daim surgit d'une mobylette 103 SP de Onizouka ! Un professeur belge sur une allemande de Munich chantaient un hymne de Russie a l'envers avec John.

Effrayé, traumatisé par ses furoncles jaunâtre , il commença à crier pour se détendre. Il alla faire le tour de France en vélo cul-nu : la police d'écriture Webdings fit en sorte de modifier sa selle, véritable calvaire car ses genoux touchaient le guidon.

Depuis tout petit, il têtait amoureux d'un monstre mais elle pourrissait sa vie : elle lui brulait les orteils, les mains et la langue pour voir sa réaction de gamin et surtout le faire pleurer. Alors un jour, ou peut-être un an, il décida de corriger les fautes de son dernier amour d'été. Une étrange lueur rosâtre turquoise aveuglait sa mère. Toute la ville sombrait dans les ténèbres depuis que le tsar s'était rendu secrètement chez EDF pour y recharger sa bourse vide.

Wall-street, une rue pavée et peu connue car wall-street n'est que perversion et soufrance, contrairement à Nantes-la-moche, une ville prospère youp-la-boom, se faisait refaire sa place trouée par John Connor lors de la Saint Patrick de 2010. Effectivement, une aussi belle ville demande que john s'occupe des toilettes sinon, elle pourrait sentir des pieds et peu des fesses.

Tout Nantes était breton. Sauf, le quartier de la coquillette qui lui était normand. Un petit pas pour l'Homme, mais une perte pour l'anticonstitutionnelle révolution. Tout les suricates perdent instantanément au Black Jack, s'attaquant au croupion le plus proche. Ils lui arrachent la tête pour la retourner à l'expéditeur à grand coups de langue toute baveuse et pleine de pustules vert-caca d'oie. Seulement, une fille au physique parfait avec des yeux vert émeraude, elle regardait ses fesses ferme
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kensaku
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MessageSujet: Re: Histoire sans fin ...   Histoire sans fin ... - Page 11 EmptyVen 14 Mai - 13:32

C'était l'histoire de John, un jeune homme de 17 ans environ. John Connor était quelqu'un de mauvais et malheureux : ses pieds puants et sa calvitie naissante faisaient de lui quelqu'un de très solitaire.

De plus en plus moche, les filles s'immolaient au kérosène quand il passait l'aspirateur tout nu en face du supermarché. Certes il essayait de ne pas choquer les mamies bleus qui mangeaient des cacahuètes rancies, cependant John aimait les regarder s'étouffer quand elles s'amusaient en sautant par dessus les poubelles jaunes et bariolées qui explosent dans les ruelles pavées de bœuf mariné. Soudain, un daim surgit d'une mobylette 103 SP de Onizouka ! Un professeur belge sur une allemande de Munich chantaient un hymne de Russie a l'envers avec John.

Effrayé, traumatisé par ses furoncles jaunâtre , il commença à crier pour se détendre. Il alla faire le tour de France en vélo cul-nu : la police d'écriture Webdings fit en sorte de modifier sa selle, véritable calvaire car ses genoux touchaient le guidon.

Depuis tout petit, il têtait amoureux d'un monstre mais elle pourrissait sa vie : elle lui brulait les orteils, les mains et la langue pour voir sa réaction de gamin et surtout le faire pleurer. Alors un jour, ou peut-être un an, il décida de corriger les fautes de son dernier amour d'été. Une étrange lueur rosâtre turquoise aveuglait sa mère. Toute la ville sombrait dans les ténèbres depuis que le tsar s'était rendu secrètement chez EDF pour y recharger sa bourse vide.

Wall-street, une rue pavée et peu connue car wall-street n'est que perversion et soufrance, contrairement à Nantes-la-moche, une ville prospère youp-la-boom, se faisait refaire sa place trouée par John Connor lors de la Saint Patrick de 2010. Effectivement, une aussi belle ville demande que john s'occupe des toilettes sinon, elle pourrait sentir des pieds et peu des fesses.

Tout Nantes était breton. Sauf, le quartier de la coquillette qui lui était normand. Un petit pas pour l'Homme, mais une perte pour l'anticonstitutionnelle révolution. Tout les suricates perdent instantanément au Black Jack, s'attaquant au croupion le plus proche. Ils lui arrachent la tête pour la retourner à l'expéditeur à grand coups de langue toute baveuse et pleine de pustules vert-caca d'oie. Seulement, une fille au physique parfait avec des yeux vert émeraude, elle regardait ses fesses fermes et sensuelles
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